AQUARELLE, subst. fém.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1791 (
Encyclop. Méthod. t. 1 d'apr.
DG).
Empr. à l'ital.
acquarella, acquerella (
Kohlm. 1901, p. 28;
Brunot t. 6, p. 1236;
Nyrop t. 1, § 78) attesté dep. la 2
emoitié du
xive− début
xves. (Cennini 22 ds
Batt. : se vuoi, poi che hai collo stile disegnato, chiarire meglio il disegno, ferma con inchiostro ne, luoghi stremi e necessari : e poi sombrare le pieghe d'acquerelle d'inchiostro, cioè acqua quanto un guscio di noce tenessi dentro due goccie d'inchiostro ...; e così secondo gli scuri, così annerisci l'acquerella di più gocciole d'inchiostro) forme concurrencée dep. la 2
emoitié du
xvies. par
acquarello «
id. » (R. Borghini [1541-1588] I − 108,
ibid.) forme actuelle et productive du mot, que Battisti
(DEI) tient pour l'étymon. Les deux formes sont dérivées du lat.
aquārius « relatif à l'eau ».