API2, APY, subst. masc.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1. 1636 bot. (
Monet,
Invantaire des deus langues, p. 13 : Ache,
Api, Persil de marés, herbe vulgaire : hoc Eleoselinonni. Apium palustre. Selinon palustre. Apium aquarium. Selinon aquaticum) − 1771,
Trév.;
2. av. 1699 « ache » (
Racine,
Œuvres, éd. P. Mesnard, t. 6, p. 217 :
Annotation à Pindare, Néméenne IV, vers 143 : κ
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ς. L'
apy étoit la couronne des Jeux Isthmiques), encore ds
Littré Suppl. 1877 en réf. à Racine.
Empr. au prov.
api « ache » (lat.
apium, ache*) dep. Daudé de Prades,
xiiies. ds
Rayn., 1.2, p. 104a; l'
api empl. par Daudet,
supra est le mot prov. lui-même;
cf. avec 2 :
ves.,
Scholia Verg. Ecl., 6, 68 ds
TLL s.v. apium, 240, 26.