APÂLIR, APPÂLIR, verbe trans.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1. 1170-71 « devenir pâle » (
Chr. de Troyes,
Cligès, éd. Foerster, 543, var. ms. de Turin : La reine garde s'an prant Et voit l'un et l'autre savant Descolorer et
apalir) − 1611,
Cotgr.; qualifié de
V. lang. par
Ac. Compl. 1842;
2. 1295 « rendre pâle » (
Bibl. hist., Maz. 532, f
o199c ds
Gdf. : Ne faites mie aussi com li tristre ypocrite qui
apalissent leur visages pour chou qu'il sanlechent as homes qu'ils junent) − 1611,
Cotgr.; repris par
Lar. 19e.
Dér. de
pâlir*; préf.
a-1*.