APPROBATEUR, TRICE, subst. et adj.
ÉTYMOL. ET HIST.
A.− 1534 subst. masc. (
G. Michel,
Antiq. des Juifz, 165 r
ods
Quem. : Grenius estoit ordonné censeur du peuple par Cesar et
approbateur de chascune sentence); spéc. 1694 (
Ac. : On appelle plus particulièrement
Approbateur, Un Docteur qui a donné son approbation publique à un livre, à un ouvrage); 1704 subst. fém.
(Trév.).
B.− 1835 adj. « qui approuve par quelque témoignage d'estime »
(Ac.).
Empr. au lat.
approbator «
id. » (
Cicéron,
Att., 16, 7, 2 ds
TLL s.v., 310, 24).