APPELABLE, adj.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1. 1174-78 « qui peut être appelé » (
E. de Fougères,
Manières, 79 ds
Gdf. Compl. : Et doit estre en tote seison [le roi]
Apelables a sa maison), attest. isolée; repris au
xxes., Baudhuin,
supra;
2. 1468 dr. « dont on peut appeler » (
Arch. Nord, B 14 509, pièce 26 ds
IGLF Techn. : Jamais la dicte court des fiefz de Burbeke n'avoit esté
appellable ne resfourmable ains avoit tousjours esté tenue pour court souveraine previlegie), très peu attesté aux
xvies., repris par
Littré.
Dér. de
appeler* étymol. 1 et 2; suff.
-able*.