| APEURER, verbe trans. ÉTYMOL. ET HIST. − 1868 « effrayer » surtout au part. passé (E. et J. de Goncourt, Journal, p. 433 : Le corps mal en train, apeuré de la minute qui va venir); 1895 forme pers. (J.-K. Huysmans, En route, t. 1, p. 146 : Elle aussi [...] a traité de cette « nuit obscure » qui vous apeure).
Dér. de peur*; préf. a-1*, dés. -er; la diffusion du part. passé a pu être facilitée par l'existence du suff. d'adj. -é. |