APERTURE, subst. fém.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1
ertiers
xives. fig. « ouverture d'esprit, intelligence » (
Fab. d'Ovide, Ars., 5069, f
o127b ds
Gdf. : Biblis, se l'estoire ne ment, Ama son frere outre mesure, Mais tant a poi d'
aperteure Que n'i entent a mauvaistié), attest. isolée; 1556 au propre « ouverture » (
Le Blanc, trad. de
Cardan, 53 r
ods
Hug. : Et seroit merveille que tant grande masse de terre fut ouverte d'une
aperture, en sorte que si elle estoit ouverte, l'univers tomberoit), attest. isolée; d'où l'accept. ling.,
supra.
Empr. au lat.
apertura « ouverture », attesté dep. Vitruve comme terme d'archit. ds
TLL s.v.