AMARRAGE, subst. masc.
Étymol. ET HIST. − 1. a) 1573 mar. « gros cordage » (
J. Du Puys,
Dict. françois-latin d'
Estienne :
Amarrage, le gros cordage d'un navire);
b) 1636
id. « jonction de deux cordages par un autre » (Le P. Philibert
Monet,
Invantaire des deus langues françoise et latine, Lyon, p. 34 :
Amarrage, lieüre avec
amarre : Rudentibus adstricta vincula. Nauticis funibus obstricti nexus);
2. 1678
id. « action d'amarrer un bateau » (
G. Guillet de Saint-George,
Les Arts de l'homme d'épée, ou le Dict. du gentilhomme ds
Jal2: dans leurs
amarrages ils [les pilotes] ne considèrent ny la force des courans, ny la capacité des ports, ny la tenuë du fond, ny le tirant d'eau de leurs frégates.)
1 dér. de
amarre*; suff.
-age* qui désigne un ensemble d'objets de même espèce; 2 dér. de
amarrer*; suff.
-age* qui désigne une action.