| ALÉSÉ, ÉE, ALÉZÉ, ÉE, ALAISÉ, ÉE, adj. Étymol. ET HIST. − 1559 hérald. « qui ne touche pas le bord de l'écu, resserré » (Petit Jehan de Saintré, Ch. LVIII, éd. 1559 ds Gdf., s.v. eleessé : Le seigneur de Manny, [portoit] de sable a une croix d'argent eleessee); 1671 (Pomey, Dict. royal des lang. fr. et lat., Lyon 2eéd. : Alesé, alaisé [...] se dit des pièces honorables, quand elles ne touchent pas le bord de l'écu).
Part. passé de aléser* (a. fr. alaisier) avec prob. une contamination de lisser*. |