ALUNIÈRE, subst. fém.
Étymol. ET HIST.
I.− Alunière, 1702 technol.
alumière « mine d'alun » (
Hist. de l'Ac. royale des sc., Paris, Ch.-E. Hochereau, p. 20 : M Geoffroy s'étoit informé exactement en Italie de la manière dont on fait l'Alun de roche aux
Alumieres de Cività-vecchia); 1783
alunière (Morand apud
Buffon,
Hist. Nat., Minéraux, t. 1, p. 481 : le territoire de ce pays, ... ouvert pour les mines de houille, l'est également pour des terres d'alun dont les mines sont appelées
alunières).
II.− Alunerie, av. 1866 technol.,
supra.
Dér. de
alun*; suff.
-ière*
, -erie*.