| ALLURÉ, ÉE, adj. Étymol. ET HIST. − 1941 modes « qui a de l'allure » (L'Œuvre, 2 et 3 juin 1941 : Vous porterez... pour le soir, des petits chapeaux de tulle, d'organdi, légers et très allurés).
Dér. de allure* étymol. 2; suff. -é*. On peut noter l'existence dans certains dial. et en arg. d'un homon. alluré « madré, rusé » qui remonte à leurre* comme déluré* et qui est attesté dès 1807 (J.-F. Michel, Dict. des expressions vicieuses), voir aussi FEW t. 16, p. 485b et Sain. Lang. par. 1920, p. 296. |