ALLOUÉ, ÉE, part. passé, adj. et subst.
Étymol. ET HIST. − 1. xiiies.
aloat « serviteur à louage » (
Vie des Pères, Ars. 3641, f
o168
dds
Gdf.,
s.v. aloé : Dist li autres : Vos marmusez, Et me tenez por
aloat);
xiiie-
xives.
alloué «
id. » (
Chron. de S.-Den., Richel. 16040, f
o397
d,
ibid.). −
xves.,
Pathelin, ibid., répertorié ds les dict. dep.
Fur. 1690;
2. 1264
alloué « procureur, fondé de pouvoirs » (
Morice,
Preuv. de l'H. de Bret., I, 992 ds
Gdf. : A tous ceux qui verront et orront ceste presente lettre, Alen de Tregarantuc,
alloué en la viconté de Rohan ... salus en nostre Seignor), seulement au
xiiies., répertorié dep.
Cotgr. 1611.
Part. passé substantivé de
allouer* étymol. 1.