| AIL, AULX, subst. masc. Étymol. ET HIST. − 1165-1170 « plante liliacée dont le bulbe d'odeur forte, est utilisé en cuisine », emploi fig. pour désigner une valeur minime (Benoit de Ste Maure, Troie, éd. Joly ds Gdf. Compl. : Ne li valurent puis deus alz).
Du lat. allium « id. » dep. Plaute, TLL s.v., 1619, 46. |