AFFLEUREMENT, subst. masc.
Étymol. ET HIST. − 1593 « action de mettre de niveau; état de ce qui est au même niveau » (
De Lurbe,
Statuts de Bordeaux, 108, édit. 1612, d'apr. Delboulle ds
R. Hist. litt. Fr. t. 1, p. 492 : Ne leur sera loisible ne permis mettre saillie de bois ou muraille, sinon a
affleurement des murailles anciennes); 1776 mines « extrémité d'une veine de houille, partie d'une couche qui émerge à fleur de sol » (
Morand,
L'Art d'exploiter les mines de Charbon de terre, I, 781 ds
Brunot t. 6, p. 398 : [l'extrémité d'une veine est appelée par les houilleurs du Hainaut français]
affleurement).
Dér. de
affleurer*; suff.
-ment1*.