AFFERMISSEMENT, subst. masc.
Étymol. ET HIST. − 1552 « action d'affermir, de consolider » (Ch.
Estienne,
Dict. lat. d'apr.
A. Delboulle ds
R. Hist. Litt. Fr., 1, 491 : stabilimentum,
affermissement); 1568 «
id. » sens propre (
Loys Le Roys,
Polit. d'Aristote, 82,
ibid. : cet
affermissement... du fruict commencé); 1584 «
id. » fig. (
Jean de Barraud,
Epist. dorées de Guevara, 235 v
o,
ibid. : L'
affermissement et stabilité de leurs monarchies).
Dér. du rad. du part. prés. de
affermir* sens propre et fig., suff.
-ment1*
; cf. a. fr.
afermement.