| AFFERMIR, verbe trans. Étymol. ET HIST. − 1372 « rendre ferme, consolider (suj. et obj. inanimés) » (Corbichon, Propriét. des choses, remède contre peste, chap. 3, éd. 1522 ds R. Hist. litt. Fr., I, 491 : Et soit telle fumée aspirée et attraicte dedans le corps par la bouche et par les narines, car elle ratifie, afermist et conforte le cueur et les entrailles).
Dér. de ferme*, adj., sens propre; préf. a-1*. |