ADULATIF, IVE, adj.
Étymol. ET HIST. − 1547 « flatteur » (
Haudent,
Apologues d'Ésope, I, 122 ds
Hug. : Par telz propos
adulatifz et fainctz); av. 1672 «
id. » (
G. Patin ds
Trév. 1752 : Nous avons ici un bénéficier natif d'Angers, nommé M. Ménage, qui est homme d'esprit et de grande érudition : il a fait des vers fort
adulatifs au Cardinal Mazarin, dans lesquels Messieurs du Parlement prétendent être offensés); vieillit ds
Trév. 1752 et 1771.
Dér. du rad. de
adulation*; suff.
-if*; rare en fr. mod.