ACCOMMODAGE, subst. masc.
Étymol. ET HIST. − 1690 « apprêt que les cuisiniers donnent aux aliments » (
Fur. s.v. : accommodage... quand on porte des viandes au cabaret, il faut en payer l'
accommodage, les sauces, l'apprêt); 1690,
Ibid. : travail ou salaire de ceux qui rhabillent, qui apprestent, qui accommodent quelque chose...; on a tant payé au tapissier pour l'
accommodage des chambres, quand on a déménagé). −
Trév. 1771; 1762 « arrangement d'une perruque, d'une chevelure »,
Ac. s.v. : ... Il s'emploie encore en parlant d'un Perruquier. Payer l'
accommodage d'un Perruquier; vieilli.
Dér. de
accommoder* III 3; suff.
-age*.