ACCEPTILATION, subst. fém.
Étymol. ET HIST. − 2
emoitié du
xiiies. terme de dr. romain « décharge donnée par le créancier au débiteur sans avoir reçu paiement » (
Digestes, ms. Montp., f
o29b ds
Gdf. Suppl. : La stipulation aquilienne renouvele toutes les obligations qui estoient avant et les deffent, et puis elle est ostee par
acceptilation).
Empr. au lat.
acceptilatio «
id. » dep.
Gaius,
Inst., 3, 169 ds
TLL s.v. : acceptilatio autem est veluti imaginaria solutio. Quod enim ex verborum obligatione tibi debeam, id si vellis mihi remittere, ut patiaris haec verba me dicere : ,,quod ego tibi promisi, habesne acceptum?`` et tu respondras : ,,habeo``.