ABECQUAGE, ABÉQUAGE, subst. masc.
Étymol. ET HIST. − 1887 arg. (Grison,
cf. ex. 1); [1907?] arg. (
France,
cf. sém.); [1912] arg. (
C. Villatte,
Parisismen s.v. abequage... voler à l'abequage, in het huis stelen, waar men zich als knecht verhuurd heeft [voler dans la maison où l'on s'est engagé comme valet]). D'apr. la docum. la forme écrite la plus usuelle semble être
abéquage.
Dér. de
abecquer* « nourrir » (peut-être « voler dans la maison où l'on est abecqué [nourri] »), mais
cf. aussi
abecqueuse 2.