ÉCROULEMENT, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1. 1561 « action d'ébranler » (Cl.
de Buttet,
Poés., I, 76, édit. Jouaust ds
R. Hist. litt. Fr., t. 11, p. 494 : L'
ecrollement et le tonnerre prompt);
2. 1587 « fait de s'écrouler »
les ecroulemens de maison (
Le Jardin de Plaisir, 1602, II, 175 ds
R. Philol. fr., t. 45, p. 140); av. 1742 fig. « ruine soudaine et totale » (Mass[illon] ds
Lar. 19e);
3. 1842 « amoncellement comparable à des ruines » (
Hugo,
Rhin, p. 318). Dér. du rad. de
écrouler(s')*; suff.
-(e)ment1*.