| ÉCHAPPÉE, subst. fém. Étymol. et Hist. [1475 eschappée (texte de la Suisse romande ds Delb. Rec. d'apr. DG)]; 1490 eschappée « fait d'échapper, fuite » (Martial d'Auvergne, Matines de la Vierge, éd. Y. Le Hir, 1111); 1666-67 les pauvres gens n'avoient de leurs amours Encor joui sinon par échappées (La Fontaine, Contes, La Gageure des trois commères, éd. A. D. Régnier, t. IV, p. 302, 49); 1704 échappée de lumière, échappée de l'escalier (Trév.). Part. passé fém. substantivé de échapper*. |