| ÂNE, subst. masc. Étymol. ET HIST. − xes. (Passion, éd. D'Arco Silvio Avalle, 20 : Un asne adducere se roved); après 1260 emploi fig. « homme stupide » (Ph. de Novare, Quatre temps de l'âge de l'homme, éd. Fréville, 207 ds T.-L. : por cels qui sont droit asne et plus nice que bestes).
Du lat. asinus, au sens propre dep. Plaute, Asin., 333 ds TLL s.v., 792, 60; emploi fig. ds Cicéron, Pis., 73, ibid., 794, 47. |