| ![]() ![]() ![]() ![]() ÉPILOGUEUR, EUSE, subst. Péj. Celui, celle qui épilogue, qui a l'habitude d'épiloguer. Il n'y a personne dans le fond qui n'ait pour l'abject et stupide épilogueur du « Mercure » le mépris qu'il mérite (Claudel, Corresp. [avec Gide], 1899-1926, p. 145).− Emploi adj. Je la croyais sournoise, hypocrite de vertu (...) enfin pédante et épilogueuse (Sand, MlleMerquem,1868, p. 32). Prononc. et Orth. : [epilɔgœ:ʀ], fém. [-ø:z]. Ds Ac. 1694-1878 au masc. Ds Ac. 1932 aux 2 genres. Étymol. et Hist. 1561 (Anc. Poés. franç., IV, 38 ds Hug.). Dér. du rad. de épiloguer*; suff. -eur2*. Fréq. abs. littér. : 4. |