| * Dans l'article "Z.A.D.,, subst. fém." Z.A.D., subst. fém. DR. ADMIN., URBAN. Abrév. de zone* d'aménagement différé. C'est une loi du 26 juillet 1962 qui a institué les Z.A.D. ou zones d'aménagement différé. Lorsqu'un secteur donné est placé sous le régime de cette loi, les propriétaires désireux d'aliéner leur bien doivent obligatoirement déclarer à l'administration leur intention de vente et le prix demandé (Le Monde, 3 nov. 1967ds Gilb. 1980).REM. Zader, verbe trans.,dr. admin., urban. ,,Soumettre un terrain (et son propriétaire) au régime des Z.A.D.`` (Gilb. 1980). Le ministre a dit: « J'ai été amené à « zader » des surfaces importantes pour éviter toute montée des prix des terrains » (La Croix,28 janv. 1970,ds Gilb. 1980).Part. passé en empl. adj. Soumis au régime des Z.A.D. Propriétaires zadés. 25 000 hectares furent « zadés », ce qui veut dire (...) que leur prix était bloqué (Le Nouvel Observateur,17 août 1970,ds Gilb. 1980). Prononc.: [zad]. Étymol. et Hist. 1962 (Loi du 26 juillet, ibid.); puis 1967 (Le Monde, 3 nov., ibid.). Sigle pour Zone d'Aménagement Différé. |