| VOILÀ, verbe et prép. I. − Verbe. [Verbe défectif réduit à la forme unipersonnelle du prés. de l'ind. de l'aspect inaccompli] Rem. ,,On ne peut se contenter de dire que [voilà] (...) est un présentatif car c'est là une qualification qui ne dit rien de la nature du signe, tout comme celle de démonstratif ou de possessif. Le terme de factif [qui marque l'expression d'un fait], lui aussi, fait allusion à une fonction, non à une structure, il est de peu d'utilité. L'examen de la syntaxe de voici-voilà nous place devant une évidence: c'est en tout point celle de la langue dénommée verbe`` (G. Moignet ds Trav. Ling. Litt. Strasbourg t. 7 no1 1969, p. 195). A. − [Présente une pers. ou une chose relativement éloignées du locuteur et, plus gén., une pers. ou une chose, proche ou éloignée, que le locuteur veut désigner] 1. [Suivi d'un subst. ou d'un pron. (autre qu'un pron. pers. ou un pron. nég.)] « Voilà donc, » m'écriai-je d'une voix altérée, « cette fille qui devait m'être attachée jusqu'au tombeau! (...) » (Restif de La Bret., M. Nicolas, 1796, p. 150).Des cheminées d'usines, des maisons clairsemées et blanches qui se resserrent tout de suite et deviennent nombreuses, − voilà la gare, nous descendons (Colette, Cl. école, 1900, p. 180). Rem. L'oppos. entre voici et voilà tend à s'estomper: voilà, empl. deux fois plus que voici, est empl. même quand ce qui est désigné semble proche du locuteur. Dans l'oppos. voici/voilà, voilà apparaît comme la forme non marquée, c'est-à-dire utilisable dans tous les cas. − Que voilà. [Dans une phrase exclam.; quand le nom est qualifié par un adj. appréc.; voilà peut passer derrière ce nom] Que voilà de beaux fruits! les beaux fruits que voilà! Ah que voilà bien mon affaire! Dit-elle avec transport (Florian, Fables, 1792, p. 188).La jolie petite fille que voilà! (Vigny, Serv. et grand. milit., 1835, p. 92). − [Le subst. est déterminé par une prop. sub. rel.] Voilà cet imbécile, à qui j'ai pourtant fait la partie belle, et qui n'a su ni me jeter dans un couvent ni me conquérir à sa philanthropie (Gobineau, Pléiades, 1874, p. 191).Et puis avant qu'on soit assis à table, voilà un enfant qui crie: « Les vaches ont sauté la clôture » (Hémon, M. Chapdelaine, 1916, p. 172). − [Précédé d'un pron. atone] Me voilà; les voilà. Eh! vous voilà! bon jour, dit-elle: Que faites-vous ici seule sur un chemin ? (Florian, Fables, 1792, p. 36).Les voilà! les voilà! par les rues, les ruelles, les impasses, les places, les carrefours, encombrés de voitures et de passans; les voilà! les voilà! par la boue, les pavés, les immondices, les bornes, les ruisseaux, les filles de joie, les voilà! Comme ils folâtrent nos deux hommes! Les voilà! (Borel, Champavert, 1833, p. 215). ♦ [Pour annoncer la venue, l'arrivée de qqn] Eh! eh! moi, je suis parti de Lyon avec deux doubles louis que m'avait donnés ma grand-mère, je suis venu à pied à Paris et me voilà (Balzac, Début vie, 1842, p. 431).Célestin revint avec les premières notes de: Maréchal, nous voilà... Il alla à la radio, la ferma (Triolet, Prem. accroc, 1945, p. 62). ♦ [Le subst. est annoncé par un pron. atone pléonastique] J'ai quelque part une vieille mère; (...) y a à peu près quatorze ans que je n'ai reçu de ses nouvelles (...) La v'là sa lettre (Dumas père, Napoléon, 1831, v, 17etabl., 1, p. 113). − En voilà. Voilà de cela. Tu en veux? En voilà. − « Du pain! » − « Tiens! en voilà! » dit le père Roque, en lâchant son coup de fusil (Flaub., Éduc. sent., t. 2, 1869, p. 174). ♦ En voilà pour. En voilà pour dix francs; en voilà pour un an. Des millions d'ennemis s'abattent ainsi, sur chaque cité, comme des nuages de sauterelles. En voilà pour quinze ans (Lautréam., Chants Maldoror, 1869, p. 190). ♦ [Pour exprimer la surprise, la stupeur] En voilà des façons; en voilà des manières; en voilà d'une autre (vieilli). En voilà d'une bonne! (...) Ça ne me regarde pas, peut-être? (...) Savez-vous bien que vous chassez sur mes terres? (...) vous avez l'air de viser ma future (Dumas père, Chasse et amour, 1825, 14, p. 55).Mais en voilà bien d'une autre. Bombard ne va-t-il pas s'imaginer que la fameuse lettre est venue de ces jeunes gens (A. Daudet, Tartarin Alpes, 1885, p. 98).En voilà un olibrius! (Salacrou, Terre ronde, 1938, i, 1, p. 133). ♦ En voilà assez! Ça suffit comme ça! Il ne faut pas en rajouter. V. assez ex. 39. ♦ Fam. En veux-tu, en voilà; en voici, en voilà. À foison, à satiété, beaucoup, en abondance. Un médecin y t'en foutrait pour quinze francs de drogue et puis de la diète, en veux-tu en voilà (Giono, Colline, 1929, p. 104). 2. [Présente un fait proche du moment où l'on parle, dans le passé ou dans l'avenir] Parfois on trouve un vieux flacon qui se souvient (...). Voilà le souvenir enivrant qui voltige Dans l'air troublé (Baudel., Fl. du Mal, 1861, p. 78). B. − [P. oppos. à voici; rappelle ce dont il vient d'être question] 1. [Introd. un développement nouveau] a) Voilà que. [Suivi d'une complét.; situe un fait dans une succession, une chaîne] Voilà que Romain va arriver, ce grand fou; je l'entends d'ici (Ramuz, Gde peur mont., 1926, p. 97).Et voilà que se retrouve le mot oublié ou réprouvé, l'âme (Bachelard, Poét. espace, 1957, p. 5). − En partic. [Présente un événement qui survient d'une manière brusque, inattendue] Flûte! voilà que se crève brusquement le journal trempé de pluie, tout s'éparpille (Bernanos, M. Ouine, 1943, p. 1392). b) [Présente une prop. indép. après une pause ou deux points] Je vais vous expliquer (et il hésitait toujours, avec un sourire doux et intimidé). Eh bien, voilà, je vais vous expliquer: c'est que je ne sais pas comment vous mettre au commencement (Loti, Mon frère Yves, 1883, p. 165). c) [Dans le dialogue, marque l'embarras, l'hésitation] Bon. Eh bien, voilà! (Un silence.) Voilà! (Un silence.) (...) Bon. Bon, bon. Voilà. Tout est bien (Sartre, Mains sales, 1948, 3e tabl., 4, p. 107). 2. [Introd. un commentaire] a) [Suivi d'une prop. interr. indir.] Voilà comment la Chambre conduit le ministère, et non le ministère la Chambre (Reybaud, J. Paturot, 1842, p. 383).Eh bien, voilà comme vous vous en allez?... cria Lisbeth à Crevel (Balzac, Cous. Bette, 1846, p. 360).Voilà pourquoi je t'ai porté, fait, dorloté, soigné, aimé jusqu'à l'absurde (Cocteau, Parents, 1938, i, 4, p. 207). b) [Suivi d'une prop. sub. rel.] − [Avec antécédent neutre] Voilà ce qui s'appelle... Voilà ce que j'appelle avoir de la conduite (Chênedollé, Journal, 1805, p. 10). − [Sans antécédent] Voilà qui est bon. Est-ce fini? Allez, messieurs, la paix soit avec vous (Musset, Lorenzaccio, 1834, ii, 4, p. 149). c) [Suivi d'un syntagme nom. commentant ce qui précède ou annonçant ce qui va suivre] − Non, Sire, elle est trop bonne femme pour être au spectacle quand je suis ici. − Voilà bien les maris, disait l'Empereur en riant, toujours confiants et crédules! (Las Cases, Mémor. Ste-Hélène, t. 1, 1823, p. 274).Voilà le point exact où nous sommes descendus. Les chefs du peuple, au pouvoir ou dans l'opposition, se sont mis au service des idées qu'ils condamnent (Clemenceau, Vers réparation, 1899, p. 67). − [À la fin d'une énumération pour introduire un mot récapitulatif] C'est là qu'eurent lieu les embrassades, les bons souhaits, les serrements de mains, les recommandations d'être prudent chaque fois qu'on le pourrait, enfin c'est là qu'on se sépara. Voilà la vie! (Erckm.-Chatr., Hist. paysan, t. 2, 1870, p. 153).Ce qui lui fait le plus de mal, c'est qu'il ne veut pas l'avouer à personne: voilà le pire (Pagnol, Fanny, 1932, i, 1ertabl., 8, p. 25).Elle est. Et moi aussi j'ai voulu être. Je n'ai même voulu que cela; voilà le fin mot de l'histoire (Sartre, Nausée, 1938, p. 219).V. hic ex. de Maupassant et vérité 1reSection I A 2 a α ex. de Pagnol. d) Vieilli. [Suivi d'un inf.] Voilà parler, répondit le papa Gobseck qui me tendit la main (Balzac, Gobseck, 1830, p. 402).Car voilà trop causer, Et le temps que l'on perd à lire une missive N'aura jamais valu la peine qu'on l'écrive (Verlaine,
Œuvres poét. compl., Fêtes gal., Paris, Gallimard, 1962 [1869], p. 93). e) [Dans le dialogue, comme terme final d'une réponse] On me crut, et la gendarmerie chercha en vain, pendant un mois, l'auteur de cet accident. Voilà! (Maupass., Contes et nouv., t. 2, Cloch., 1886, p. 665).Il me revient aussi étrangement à l'oreille le très bref et très sec « Voilà! » avec lequel Marino parut clore la visite et rompre l'envoûtement, en martelant plus fort le talon de sa botte (Gracq, Syrtes, 1951, p. 23). − Mais voilà. Mais voilà! Vous avez une femme, voilà! (Claudel, Échange, 1954, i, p. 750). − Et voilà. Vincent avait affirmé au retour qu'il s'était acheté une conduite: et voilà! (Beauvoir, Mandarins, 1954, p. 234). − Voilà tout. Ainsi la terrible besogne était achevée: elle était achevée voilà tout. Elle était faite (Bernanos, Soleil Satan, 1926, p. 151). C. − [Le subst. ou le pron. présenté par voilà sont caractérisés par un adj., un part., une prop. sub. rel., un compl.. circ. qui décrivent un état actuel résultant de circonstances antérieures exprimées ou explicites] 1. [Avec un adj. attribut] La voilà pimpante et proprette, toujours douce, soumise, obéissante (Sue, Atar-Gull, 1831, p. 8).Le voilà riche à millions (Balzac, Cous. Bette, 1846, p. 345). 2. [Avec un part.] Et le voilà faisant une scène à Banville, ne le trouvant pas à l'unisson de son admiration! (Goncourt, Journal, 1887, p. 633).Te voilà bien avancé! (Rolland, J.-Chr., Nouv. journée, 1912, p. 1543). 3. [Avec une prop. sub. rel.] Le voilà qui se met à développer ce texte avec une abondance d'idées, une richesse de vues si fines ou si profondes, un luxe de métaphores si brillantes et si pittoresques, que c'était merveille de l'entendre (Chênedollé, Journal, 1822, p. 113). 4. [Avec un compl. circ. exprimant un lieu ou une situation] Le voilà devant ce miroir, Criant, pleurant, frappant la glace (Florian, Fables, 1792, p. 81). 5. P. iron. [Pour déplorer cette situation] Me/nous ... voilà bien! Allons! bon, du monde! Ah! bien! me voilà bien! (Feydeau, Dame Maxim's, 1914, i, 9, p. 15). 6. [Pour déclarer que cette situation est arrivée à son terme, à son dénouement] M'/nous ... y voilà. Nous y voilà, dit l'ancien tonnelier en jetant la lettre au feu; patience, mes petits amis (Balzac, E. Grandet, 1834, p. 180). D. − Ne voilà-t-il pas que. [Souligne la surprise provoquée par un phénomène récemment survenu ou sur le point de survenir] Et ne voilà-t-il pas que, sans me regarder, sans m'écouter, sans me répondre, il prend la taille d'une femme, se met à valser (Goncourt, Journal, 1894, p. 565). − Voilà-t-il pas que (fam.). La porte bouge comme Si on entrait. − Mais non. − Voilà-t-il pas, pauvre homme, Que j'ai peur de le voir rentrer, moi, maintenant! (Hugo, Légende, t. 2, 1859, p. 774). II. − Prép. [Suivi d'une indication de durée] A. − [Indique l'intervalle de temps qui s'est écoulé depuis le moment où un événement a eu lieu jusqu'au moment présent] Il y a. Synon. voici.Voilà deux nuits, sur les communaux, il y a eu un coup de lanterne (Genevoix, Raboliot, 1925, p. 10). B. − Voilà... que. [Indique qu'une situation existe depuis un point du passé jusqu'au moment présent] Il y a... que. Les Mémoires de Retz. Voilà longtemps que je n'avais goûté pareille joie (Gide, Journal, 1902, p. 124). REM. V'là, var. pop.Père, v'là la pluie, je sors mes oies! (Zola, Terre, 1887, p. 45).V. supra I A 1 ex. de Dumas. Prononc. et Orth.: [vwala]. Par contraction, v'là (supra rem. ex. de Dumas, Zola). Dans ne voilà-t-il pas, épenthèse d'un t de liaison (Nyrop Phonét. 1951, p. 143). Homon. formes conjuguées de voiler1 et 2. Ac. 1694: voila; dep. 1718: voilà. Étymol. et Hist. 1. 1342 vela s'emploie pour désigner une personne ou une chose relativement éloignée (Guillaume de Machaut, Le Dit dou Lyon, éd. E. Hoepffner, t. 2, p. 208: vela celui qui vainqui la bataille); 1485 précédé d'un pron. pers. me vella (Mistére du Viel Testament, XVII, 9609, éd. J. de Rothschild, t. 2, p. 13); a) 1485 en vella « voilà de ceci » (ibid., XI, 6205, t. 1, p. 241); 1601 s'emploie pour désigner à l'attention, une personne (P. Charron, De la Sagesse, Trois Livres, p. 270: et en voylà un en sa maison qui...); 1839 exclam. pour mettre en relief (Stendhal, Chartreuse, p. 38: en voilà du nanan!); b) 1485 précédé de que (Mistére du Viel Testament, XXI, 14393, éd. J. de Rothschild, t. 2, p. 231); 1498-1515 exclam. (P. Gringore, Vie Ms. S. Loys, éd. Ch. d'Héricault et A. de Montaiglon, t. 2, p. 224: o que velà ung villain mot!); 1635 (G. de Scudéry, La Comédie des Comédiens, p. 36: que voilà reciter de bonne grâce!); c) 1607 voilà suivi d'un inf. pour attirer l'attention sur une action qui est en train de se dérouler (H. d'Urfé, L'Astrée, t. 1, p. 464); 2. fin xives. vela s'emploie pour désigner des choses dont il vient d'être question précédemment (Froissart, Chroniques, éd. S. Luce, t. 11, p. 59); 1478-80 velà comment (Guillaume Coquillart, Enquête, éd. M. J. Freeman, p. 104); 1580 voilà pourquoy (B. Palissy, Discours admirables, éd. A. France, p. 335); 1601 voylà tout (P. Charron, op. cit., p. 44); 1627 voila qui est bien (Ch. Sorel, Le Berger extravagant, p. 335); 1627 voila ce que c'est + subst. (Id., ibid., p. 509: voila ce que c'est que le livre de Lysandre); 1643 voila ce que c'est + inf. (A. Arnauld, De la fréquente Communion, p. 702: voila ce que c'est que d'estre devot); 1672 en voilà pour suivi d'une indication temp. (Mmede Sévigné, Corresp., éd. R. Duchêne, t. 1, p. 452); 1725 en voilà assez formule pour mettre fin à un entretien (Marivaux, La Seconde surprise de l'Amour, p. 533); 1761 n'en voilà-t-il pas assez? (J.-B. Robinet, De la Nature, p. 327); 3. 1485 s'emploie pour présenter un subst. ou un pron. caractérisé, en relation avec des circonstances déjà exprimées (Mistére du Viel Testament, IV, 26281, t. 1, p. 101); 1607 le voilà qui (H. d'Urfé, op. cit., p. 250); 1610 nous voilà bien! (Béroalde de Verville, Le Moyen de parvenir, éd. Tournon, chap. 65, p. 205); a) 1580 en corrél. avec une circonstance de temps (Montaigne, Essais, I, 49, éd. P. Villey et V.-L. Saulnier, p. 296); b) 1610 en corrél. avec un adv. de lieu t'y voilà (Béroalde de Verville, op. cit., chap. 8, p. 18); 4. 1511 vela pas s'emploie pour exprimer la surprise (P. Gringore, Sottie, éd. Ch. d'Héricault et A. de Montaiglon, t. 1, p. 235); 1568 voila pas (R. Garnier, Antigone, 2618, éd. W. Foerster, t. 3, p. 90); 1625 ne voila pas (H. d'Urfé, La Sylvanire, p. 50); 1627 ne voila-t-il pas (Ch. Sorel, op. cit., p. 172); 5. 1757 « il y a exactement (tel laps de temps) » (R.-L. Argenson, Journal et Mémoires, p. 256). Comp. de la 2epers. de l'ind. de voir* et de la particule là (cf. voici). Fréq. abs. littér.: 33 309. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 48 941, b) 58 348; xxes.: a) 49 235, b) 39 020. Bbg. Anquetil-Moignet (N.). À propos du « verbe voici-voilà ». Mél. Moignet (G.). Trav. Ling. Litt. Strasbourg. 1980, t. 18, no1, pp. 23-30. − Chevalier (J.-Cl.). Exercices portant sur le fonctionnement des présentatifs. Lang. fr. 1969, no1, pp. 82-92. − Cressot (M.). Présentation de l'action subite. Fr. mod. 1942, t. 10, pp. 23-25. − Gardes-Tamine (J.). Introd. à la synt. Inform. gramm. 1986, no29, pp. 34-35. − Lecointre (S.), Le Galliot (J.). À propos d'une macrostructure du syst. verbal fr. Fr. mod. 1970, t. 38, pp. 322-329. − Moignet (G.). Le Verbe voici-voilà. Trav. Ling. Litt. Strasbourg. 1969, t. 7, no1, pp. 189-209; Syst. de la lang. fr. Paris, 1981, pp. 279-285. − Quem. DDL t. 38. − Rothenberg (M.). Les Prop. rel. à antécédent explicite introduites par des présentatifs Mél. Michéa (R.). Ét. Ling. appl. 1971, no2, pp. 110-112. − Schifko (P.). Aspekte einer strukturalen Lexicologie... Bern, 1977, 387 p. − Togeby (K.). Gramm. fr. 4. Copenhague, 1984, p. 287. |