| * Dans l'article "VANDALISME,, subst. masc." VANDALISME, subst. masc. [Corresp. à vandale B] Comportement, état d'esprit d'un vandale; acte de vandale. Des actes de vandalisme ont été commis l'autre nuit dans la basilique de Saint-Denis et dans l'église Saint-Denis de l'Estrées (Le Figaro, 19-20 janv. 1952, p. 2, col. 5).Le vandalisme révolutionnaire: châteaux ravagés ou incendiés; églises dépouillées, démolies; archives saccagées; statues abattues; armoiries martelées (Lefebvre, Révol. fr., 1963, p. 560).REM. Vandalique, adj.,rare. Relatif au vandalisme. Le temps et la pudeur vandalique des desservants ont successivement endommagé ces sculptures satiriques, joyeuses et paillardes comme un chapitre de Rabelais (Mirbeau, Journal femme ch., 1900, p. 219). Prononc. et Orth.: [vɑ
̃dalism̭]. Att. ds Ac. dep. 1835. Étymol. et Hist. 1794 (Abbé Grégoire, Mém., t. 1, p. 346 qui indique ,,je créai le mot pour tuer la chose``). Dér. de vandale*; suff. -isme*. Fréq. abs. littér.: 24. Bbg. Darm. 1877, p. 215. − Ranft 1908, p. 109. |