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TURBO2, subst. masc.
TECHNOLOGIE
A. − Abrév. de turbocompresseur (s.v. turbo-). Et le grand public français de découvrir à cette occasion les vertus du turbo, cette « machine à récupérer l'énergie perdue ». (...) Qu'on verse en effet trois grammes d'essence dans un moteur de voiture conventionnelon dit « atmosphérique »et un gramme se transforme en chaleur et en pression dans l'échappement. Pour rien. Or le turbo permet, lui, d'utiliser une bonne partie de cette chaleur et de cette pression (Le Point, 10 mars 1980, p. 98, col. 2).
Empl. adj. [En parlant d'un moteur ou d'un véhicule équipé de ce moteur] Qui est suralimenté par un turbocompresseur. Première impression face à la Renault 18 Turbo: elle est belle et racée (Le Nouvel Observateur, 28 avr. 1981, p. 32).
Effet turbo. Effet produit par un tel moteur. Vers 2 500 tr-mn, se déclenche l'effet turbo. La puissance est progressive, contenue, féline (Le Nouvel Observateur, 9 janv. 1982, p. 2).
B. − Abrév. de turbotrain (s.v. turbo-). Le bocage (...) très joli. Les vaches regardaient ailleurs; elles boudaient le turbo de la S.N.C.F. (Marcelle, Terrain lourd, 1981, p. 9 ds Quem. DDL. t. 23).
Prononc. et Orth.: [tyʀbo]. Homon. turbo1, turbot. Plur. des turbos. Étymol. et Hist. 1. 1969 ch. de fer (La Vie du rail, 13 avr., p. 44 ds Quem. DDL t. 23); 2. 1980 automob. (Le Point, loc. cit.) 1 abrév. de turbotrain (1968, Chemins de fer, mai, v. aussi l'angl. turbotrain att. dès 1966, NED Suppl.2) comp. de turbo-* et de train*; 2 abrév. de turbocompresseur (1923, Lar. univ., v. aussi l'angl. turbo-compressor att. dès 1920, NED Suppl.2) comp. de turbo-* et de compresseur*. Bbg. Quem. DDL t. 23.