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TANK2, subst. masc.
ARM., vieilli et lang. cour. Char d'assaut. Canon, chenilles, tourelle d'un tank; colonne de tanks. Une masse énorme et trapue, un tank bariolé (...) montrant encore (...) de grands trous dans sa coque de tôle, les marques de l'obus qui l'avait tué (Van der Meersch, Invas. 14, 1935, p. 454).Des tanks légers dévalaient la colline en crachant le feu (Ambrière, Gdes vac., 1946, p. 370).
Prononc. et Orth.: [tɑ ̃:k]. Att. ds Ac. 1935. Plur. des tanks. Étymol. et Hist. 1916 « char d'assaut » (Polybe, Figaro, p. 1, c. 5, 22 sept. ds Bonn., p. 152), subst. fém. ds Le Matin, 23 sept. 1916 et subst. masc. ds La Vie Parisienne, 4 nov. 1916, p. 814 et Le Matin, 16 nov. 1916, p. 1, col. 2 (Esn. Poilu, p. 426 et 507). Empr. à l'angl.tank (tank1) utilisé en déc. 1915 comme appellation du char d'assaut motorisé dans le but de préserver le secret sur la construction de ce véhicule de guerre (v. NED Suppl.2, s.v. tank 7 et Encyclop. brit. t. 21, p. 661a), la coque de l'engin ayant été désignée comme une citerne à eau, le terme tank fut ensuite appliqué à l'ensemble du véhicule. L'arrêté du 12 août 1976 recommande l'empl. du mot char et du mot réservoir pour traduire tank (Lang. fr. 1985, p. 182 et 202). Fréq. abs. littér.: 179. Bbg. Arv. 1963, p. 469. − Becker 1970, p. 273, 334, 343. − Quem. DDL t. 36.