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PUNCHING-BALL, subst. masc.
SPORTS (boxe). Ballon fixé au plafond ou au plancher par de solides attaches élastiques au bout d'une tige flexible et dans lequel les boxeurs frappent pour s'entraîner. Cet entraînement comporte (...) des exercices de lancer du médecine-ball, du travail au punching-ball et au sac de sable donnant la vitesse et la force de frappe (R. Vuillemin, Éduc. phys., 1941, p. 164).
− P. anal., plais. − Et les animaux fétiches? J'ai connu un aviateur anglais qui avait un panda dans sa carlingue. − Nous, nous avons tout juste un gros chien ramassé dans une ferme et qui nous sert de putching-ball tous les matins (Cendrars, Lotiss. ciel, 1949, p. 32).
Prononc. et Orth.: [pœn(t)ʃiŋbo:l], [pun(t)-]. Rob. 1985 [pœntʃiŋbol], [pynʃiŋbɔl]. Cendrars, loc. cit.: putching-ball. Plur. des punching-balls. Prop. Catach-Golf. Orth. Lexicogr. 1971, p. 190: un (ou une) puntchingballe, plur. des puntchingballes. Étymol. et Hist. 1900 (Le Sport universel illustré, 24 février, 127a ds Höfler Anglic.). Empr. à l'angl.punching-ball (1900 ds NED), comp. de ball « ballon » et de punching « action de frapper du poing » du verbe to punch (v. punch2). Bbg. Bonn. 1920, p. 113.