| POUVOIR1, verbe trans. I. − Empl. trans., de sens plein A. − Être capable de faire quelque chose. Voyez pourtant ce que peut une bonne conscience! (A. Daudet,Tartarin Alpes, 1885, p.214).Minos et Médor échappaient, l'un subtil et souple, souvent perché hors d'atteinte; l'autre, indépendant et fugace. L'âne pouvait moins. Il fut dompté (Adam,Enf. Aust., 1902, p.133). ♦ Absol. Il est évident que si nous devons nous pouvons (Cousin,Hist. philos. mod., t.1, 1846, p.352). − Proverbes. Qui peut le plus peut le moins*; si jeunesse* savait et vieillesse pouvait. − Loc. verb., littér. Ne pouvoir que... ne + subj. Ne pas pouvoir s'empêcher de, être dans l'impossibilité de ne pas: 1. Le rhétoriqueur fait sa part au langage une fois pour toutes, et se trouve ensuite libre de traiter d'amour ou de peur, d'esclavage ou de liberté. Mais le terroriste ne peut qu'il ne mêle à la peur, à l'amour, à la liberté, un continuel souci de langage et d'expression.
Paulhan,Fleurs Tarbes, 1941, p.166. ♦ [Tournure plus usuelle] Ne pas pouvoir ne pas + inf. ,,Vous ne pouvez pas ne pas avoir raison. Vous ne pouvez faire autrement que d'avoir raison`` (Dupré 1972). Anne ne pouvait pas ne pas remarquer l'intonation de mon père (Sagan,Bonjour tristesse, 1954, p.144). − N'en plus pouvoir. Être abattu, à bout de forces. Synon. pop. et fam. être sur les genoux (v. genou), sur les rotules (v. rotule), au bout du rouleau*.N'en plus pouvoir de fatigue, de chaleur. Robert se laisse tomber au pied d'un arbre: Ah! de l'eau, mes amis. Je n'en puis plus, un peu d'eau, si cela est possible (La Martelière,Robert, 1793, v, 1, p.55). ♦ Au fig. Être excédé. Écoute, Edmond, il faut que tu saches... Je n'en peux plus de ces mensonges (Aragon,Beaux quart., 1936, p.348). ♦ P. ext., fam. Être écroulé (de rire). N'en plus pouvoir (de rire). Rem. Claudel emploie la forme arch. puit et avec un suj. désignant une chose: Face à l'ouragan, il me manquait encore l'horreur (...) de ce bateau pourri qui n'en puit plus (Le Figaro littéraire, 7 mars 1953 cité par Grev., 32, p.674, § 614, 12o, note ds Dupré 1972). B. − 1. [Le suj. désigne qqn] Avoir l'autorité, la puissance de faire quelque chose. Pouvoir qqc., tout, beaucoup pour qqn, auprès de qqn; que puis-je pour votre service? Le comte pouvait tout sur l'esprit de son maître, on en eut à Parme une preuve qui frappa tous les esprits (Stendhal,Chartreuse, 1839, p.111): 2. −J'ai ma mission, moi aussi, dit-elle d'un ton farouche, et je la remplirai. Je ne permettrai pas qu'on te détourne de toi. Il ne pouvait rien contre ces grands mots...
Beauvoir,Mandarins, 1954, p.257. − Loc. verb. ♦ Y pouvoir (qqc.) (à la forme interr.). Être responsable en quelque chose. Quoi de neuf? −Tenez. Et elle lui montra le papier. −Eh bien, qu'y puis-je? (Flaub.,MmeBovary, t.2, 1857, p.137). ♦ N'y rien* pouvoir; n'en pouvoir rien* (région., Belgique); n'en pouvoir mais (v. mais2). 2. [Le suj. désigne qqc.] Avoir une possibilité d'action. L'imagination consiste en ceci que l'homme juge des choses extérieures, de ce qu'elles sont et de ce qu'elles peuvent, d'après l'état de son propre corps (Alain,Propos, 1921, p.207).Qu'une lotion (...) provoque la repousse des cheveux n'a en soi rien d'illogique. Le client s'y attend: il suffit de créer sa confiance. Mais l'image peut davantage; elle peut créer des convictions sans fondement justifiable (Huyghe,Dialog. avec visible, 1955, p.46). II. − Auxil. de mode, verbe modalisateur. [Suivi d'un inf., et servant à exprimer les différentes modalités du possible] A. − [Valeurs modales exprimant le devoir ou le droit] 1. Avoir la faculté de faire quelque chose ou de produire un effet. a) Avoir la capacité de (selon des qualités inhérentes à la personne et dans certaines conditions matérielles). Synon. être capable de, être en état* de, être en mesure* de, être susceptible* de, être à même* de, être de force* à.
α) [Le suj. désigne un animé] Faire ce qu'on peut. Étaient conviés également l'ex-ministre Carteron (qui put me donner d'assez récentes nouvelles d'Athènes) (Gide,Journal, 1943, p.178).Et quelques-uns d'entre eux [les prisonniers de la peste], comme Rambert, arrivaient même à imaginer, on le voit, qu'ils agissaient encore en hommes libres, qu'ils pouvaient encore choisir (Camus,Peste, 1947, p.1353). − Avoir la possibilité matérielle de. À la sortie du lycée, Georges et Phiphi avaient enfin pu se rejoindre (Gide,Faux-monn., 1925, p.1137). ♦ [Avec le pron. pers. le compl. d'obj. reprenant l'inf. ou la phrase exprimée] Perpetua ne se lassa point de penser dans le secret à l'âme de son bon ange, d'agir comme elle le pouvait pour le bien de cette âme (Jouve,Paulina, 1925, p.175). ♦ Absol. [Sans pron. de reprise] Si l'on peut, quand on peut, dès qu'on peut, comme on peut, autant qu'on peut. Ils s'arrêtèrent devant l'enclos sacré où dormaient les bêtes, couchées ou debout, les taureaux dans le fond, à la place la meilleure, les vaches par-devant, où elles pouvaient (Montherl.,Bestiaires, 1926, p.570). ♦ [Sans pron. pers. de reprise] Il faut que je vous quitte, adieu. −Restez. −Je ne puis (A. France,Révolte anges, 1914, p.286). ♦ [Avec pron. pers. de reprise] Il faut me faire cette promesse, mon fils. −Je ne le puis, mon père (Billy,Introïbo, 1939, p.165). ♦ [Après un superl.] Ninon monta le plus vite qu'elle put (Boylesve,Leçon d'amour, 1902, p.137). − Proverbes. La plus belle femme* du monde ne peut donner que ce qu'elle a; il ne faut jamais remettre au lendemain* ce qui peut être fait le jour même. − [Avec un suj. indéterminé] Quant aux légendes, néant. Nous n'inventons pas de légendes. Et pourtant, explique qui pourra, nous sommes le pays du culte des morts! (Barrès,Génie Rhin, 1921, p.236). ♦ Proverbe. Fais ce que dois, advienne que pourra. V. devoir1. − Sauve-qui-peut*. − Loc. adv. et adj. On ne peut moins*; on ne peut plus*; on ne peut mieux*. ♦ Tant (autant) que faire se peut, se pourra. Dans la mesure du possible (d'apr. Rey-Chantr. Expr. 1979). − Ne pas/plus pouvoir sentir* (fam.), blairer* (pop.), piffer (pop., dér. s.v. pif2), encadrer* (pop.), voir en peinture* (fam.) qqn. Avoir en aversion, être agacé de.
β) [Le suj. désigne une chose] C'est étonnant, pensait-il, comme cette petite prend soin de moi; elle devine tout ce qui peut me faire plaisir (Erckm.-Chatr.,Ami Fritz, 1864, p.54).Je m'avisais un peu tard que les sciences exactes peuvent seules construire et armer les intelligences (A. France,Vie fleur, 1922, p.509). b) [Le suj. désigne une pers., souvent en cont. exclam. ou interr.] Avoir l'audace de. Synon. oser, daigner, avoir le front* de (littér.).Ah, si tu savais ce qu'il a pu me faire souffrir! (Martin du G.,Thib., Cah. gr., 1922, p.608): 3. C'est moi qui ai tort, dit-elle; je vous en demande bien pardon. Comment ai-je pu me fâcher d'un mot qui n'était sûrement pas dit pour me faire de la peine?
Krüdener,Valérie, 1803, p.22. − Absol. [En cont. exclam. ou interr.] Célestincic: Ma petite fille. Ma petite (...). Elle avait une poupée bleue. Comment, comment a-t-elle pu... Ma petite... Alarica: Le mal court (Audiberti,Mal court, 1947, iii, p.198). 2. [Le suj. désigne une pers.] Avoir le droit, la permission de. a) [Souvent en interr.] Avoir la permission, l'autorisation de. Puis-je parler? Siegfried fait un geste affirmatif (Giraudoux,Siegfried, 1922, iv, 3, p.168).Je peux vous dire bonjour? Vous ne me détestez plus? (Beauvoir,Mandarins, 1954, p.183): 4. ... seulement après le départ du dernier enfant, balayage du préau. (Les enfants que les parents viennent chercher peuvent rester jusqu'à six heures en hiver, jusqu'à sept heures en été).
Frapié,Maternelle, 1904, p.13. b) Avoir le droit, la capacité légale de. Le mandant peut révoquer sa procuration quand bon lui semble, et contraindre, s'il y a lieu, le mandataire à lui remettre (...) l'écrit sous seing privé qui la contient (Code civil, 1804, art. 2004, p.360). c) Être en droit de, selon la raison, la logique ou conformément à des normes particulières. La reine, avec force. Il vous serait assuré, je vous le jure... M'en jurerez-vous autant; je ne dis pas avant, mais après le danger? Rantzau: Vraiment!... Il y en a donc? La reine: Puis-je me fier à vous? (Scribe,Bertrand, 1833, i, 6, p.131). d) Avoir le droit de, selon des normes châtiées de langage. J'aimerais bien: vaquerait. Cela ne peut-il se dire en sous-entendant: «à des soins» ou quelque chose comme ça? (Rivière,Corresp.[avec Alain-Fournier], 1907, p.284). e) Être en droit de, conformément à la morale. Ma soeur Zoé, que vous voyez là, avait besoin pour sa santé de voyager dans le Midi. Je ne pouvais la laisser aller seule, et nous arrangeâmes un voyage en Italie afin de concilier tous les intérêts (Delécluze,Journal, 1827, p.428). 3. [En cont. partic., exprime diverses modalités] a) [Le souhait (valeur optative, dans des phrases exclam., le verbe étant au subj.)] Synon. fasse le ciel que (v. faire1F 3 b), plût aux dieux que...! (v. plaire A 3 a).Puissé-je réussir! Chacun de nous −ah! puissiez-vous retenir ces paroles d'un vieil ami! −est tour à tour, de quelque manière, un criminel ou un saint (Bernanos,Soleil Satan, 1926, p.221): 5. La plupart (...) s'arrêtent encore sur le seuil de l'église. Puissent-ils voir dans ces pages combien je suis heureux de l'avoir franchi, et puissent quelques-uns de ces hésitants être entraînés par mon exemple et par mon acte de foi.
Coppée,Bonne souffr., 1898, p.19. b) [L'oppos. (valeur concess., en déb. de phrase, le verbe étant souvent accompagné de bien)] Avoir beau. Le wagon enragé peut bien Écraser ma tête coupable (...) Je m'en moque comme de Dieu (Baudel.,Fl. du Mal, 1857, p.189). − Pop. ou arg. [En exclam., p.iron.] Pouvoir se fouiller* (pop.), se palper* (arg.), se brosser* (arg., pop.). c) [L'étonnement, l'impatience ou la perplexité (lié à l'intensité, en renforcement d'une phrase interr. ou exclam.)] On creusait jamais bien profond: un coup de bêche ou deux, qu'est-ce que ça peut faire? (Giono,Colline, 1929, p.172).Ce que ça peut être blond, un croissant! (Aragon,Beaux quart., 1936, p.389). d) [Un ordre ou un reproche atténué ou une suggestion (notamment avec peut-être, bien que cet empl. avec peut-être soit rejeté par certains puristes, v. Grev. 1969, § 891)] Je n'avais point le loisir, mon départ étant précipité, de m'expliquer longuement sur la feuille volante que j'ai laissée sur la table; c'est pourquoi tu as peut-être pu t'imaginer que j'étais parti pour le Caucase (Miomandre,Écrit sur eau, 1908, p.237).Regarde les cendres sur mes tapis! Ne pourrais-tu fumer ailleurs? (Van der Meersch,Invas. 14, 1935, p.153): 6. Si vous pouviez me donner une tasse de quelque chose de chaud à boire... Ça ne va pas... Je ne sais pas ce que j'ai. Je n'ai pas pris mon petit déjeuner ce matin.
Triolet,Prem. accroc, 1945, p.41. − [Dans un système hypothétique avec si] V. lettre P A 1 ex. de Saussure. − Au cond. V. littérature ex. 1. B. − [Valeurs modales relatives au savoir et aux connaissances] 1. [Éventualité] Synon. risquer de, il est possible que.Ma mère commença à croire que Putois pouvait bien exister, et qu'elle pouvait bien n'avoir pas menti (A. France,Putois, 1904, p.76).Attention au coeur! répète le médecin chaque soir (...), le coeur peut flancher (Bernanos,M. Ouine, 1943, p.1353). − Empl. impers. Il peut se faire, arriver que + subj.Il pouvait y avoir d'autres notes du même genre, et il était inutile que Jacques les trouvât (Martin du G.,Thib., Mort père, 1929, p.1324). − Empl. pronom. impers. Il se peut que. C'est possible. Ce sont des contes, et vous-même, monsieur, vous êtes fabuleux. −Que je le sois devenu dans la suite des âges, il se peut (A. France,Jard. Épicure, 1895, p.176). ♦ Fam. Ça se peut. C'est possible, probable. Synon. peut-être.On a tendu d'un arbre à l'autre une corde pour vous barrer le passage (...) −Ça se pourrait bien, dit le brigadier (Balzac,Tén. affaire, 1841, p.146). 2. [Approximation] La comtesse peut avoir vingt-sept ou vingt-huit ans, impossible d'être plus jolie, plus adorable (Stendhal,Chartreuse, 1839, p.86). 3. [Présentation d'une hyp., dans un ouvrage didact.] − [Seule une possibilité de choix est exprimée, l'ensemble des possibilités étant présupposé] On pourra par exemple/notamment + inf. Au XVIIesiècle Fénelon pouvait écrire que le plus grand miracle de la divinité était d'avoir pu mêler en nous la grossièreté de la matière et la spiritualité de l'âme (Warcollier,Télépathie, 1921, p.310). − [Présentation de deux hyp.] Un animal domestique peut devenir bon ou méchant, franc ou sournois, fin ou stupide, non seulement suivant les leçons que lui donne son maître, mais selon ce qu'est son maître (Rolland,J.-Chr., Nouv. journée, 1912, p.1575). − [Dans un cont. d'oppos.] Contrairement à ce qu'on pouvait penser; on aurait pu croire... mais /or/en réalité... J'écoute à la radio, six fois par jour, les mêmes nouvelles que déjà j'avais lues dans le journal du matin, comme si mon attentive impatience pouvait hâter les événements (Gide,Journal, 1944, p.276). − [Dans une formule d'atténuation au sens de il est possible que] On peut établir..., on ne peut plus admettre que..., enfin on peut signaler... Je pourrais dire que ce fut une loyauté de ma part, ce conseil donné au marquis de laisser Mmede Jussat heureuse à Paris (Bourget,Disciple, 1889, p.183). ♦ En incise. Si l'on peut dire, si je puis dire. Synon. pour ainsi dire (v. dire1).Des êtres sonores indiscutables, remplissant tout l'espace, −tout l'abîme pourrait-on dire −entre l'explicite musical et l'explicite dramatique (Schaeffer,Rech. mus. concr., 1952, p.145). Prononc. et Orth.: [puvwa:ʀ]. Att. ds Ac. dep. 1694. Conjug. Ind. prés.: je peux ou je puis (quand je suit le verbe toujours puis-je: puis-je vous aider?), tu peux, il peut, nous pouvons, vous pouvez, ils peuvent; imp.: je pouvais; passé simple: je pus, nous pûmes, vous pûtes (rare), ils purent; fut.: je pourrai; cond. prés.: je pourrais; subj. prés.: que je puisse, que nous puissions; subj. imp.: que je pusse, qu'il pût, que nous pussions; part. prés.: pouvant; part. passé: pu (sans fém.); pas d'impér. La forme puis remplace peux, à la 1repers. du sing., toujours en forme interr., souvent dans la lang. soutenue à la forme affirm., nég. Vx: il n'en puit plus (Claudel, par souci d'archaïsme, v. Grev. Orth. 1962, § 1596). Étymol. et Hist.1. 842 régissant un verbe à l'inf. «avoir la force, la possibilité de» (Serments de Strasbourg ds Henry Chrestomathie, p.1); 2. 2emoitié xes. avec valeur d'auxil., en sous-entendant le verbe exprimé dans l'autre partie de la phrase (St Léger, éd. J. Linskill, 40); 3. fin xes. au subj. pour exprimer un souhait (Passion, éd. D'Arco Silvio Avalle, 513, 515); 4. ca 1050 avec verbe à l'inf. «avoir la possibilité, l'occasion de» (Alexis, éd. Chr. Storey, 546: ki ad pechét s'en pot recorder); 5. ca 1050 «avoir sujet, avoir motif de» (ibid., 478: E! gentils hom, cum dolente puis estra!); 6. ca 1150 avec adv. (Wace, St Nicolas, éd. E. Ronsjö, 1007; al miels que il unques poeient), s'employait fréq. en a. fr. avec un adv., en partic. pour remplacer un verbe de mouvement (v. T.-L.), empl. subsistant dans les loc. adv.: n'en pouvoir mais «être à bout de forces» (dep. ca 1160, Enéas, éd. J.-J. Salverda de Grave, 4390: qui mes ne puet), on ne peut mieux (dep. ca 1485, Mystère du Viel Testament, éd. J. de Rothschild, 45436) ou adj. on ne peut plus + adj. (1768, Diderot, Salon de 1767, pp.87-88); 7. ca 1160 impers. (Enéas, 1064: molt me torne a grant contraire Que morz ne soi, se il puet faire), v. aussi peut-être. Du lat. pop. *potere, réfection du lat. class. posse d'apr. les formes à rad. en pot-: potest, potui, potens. Bbg. Anscombre (J.-Cl.). Voulez-vous dériver avec moi? Communications. 1980, no32, pp.96-100. _ Blumenthal (P.). Imperfekt und Perfekt der frz. Modalverben. Z. fr. Spr. Lit. 1976, t.86, pp.26-39. _ Bryant (W. H.). Unequivocal passé composé/imparfait contexts for falloir and pouvoir Fr. 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Investig. 1977, t.1, pp.375-409; Une Analyse sém. des verbes devoir et pouvoir. Fr. Mod. 1979, t.47, pp.97-120; Quantificateurs et modalités. Langages. 1977, no48, pp.84-98. _ Todorov (Ch.). La Hiérarchie des liens ds le récit. Semiotica. 1971, t.3, no2, pp.121-139. _ Vidalenc (J.-P.). Pouvoir, can, may. Contrastes. 1981, no2, pp.55-62. |