| * Dans l'article "P.T.T.,, subst. masc. plur." P.T.T., subst. masc. plur. A. − [Sigle de l'Administration des Postes, Télégraphe(s) et Téléphone(s) (jusqu'en 1959); p. ext., appellation usuelle de l'Administration des Postes et Télécommunications (de 1959 à 1980)] . Agent, facteur, fonctionnaire, ingénieur, ministre des P.T.T.; grève des P.T.T. L'Almanach des P.T.T. indique les tarifs à appliquer pour l'affranchissement des correspondances (Y. Court, La Poste, Paris, Foucher, 1960, p. 4).Les fonctionnaires P.T.T. (...) sauront conduire à son terme le plus grand programme d'investissement de notre pays (N. Segardds Télécommunications, 1976, n o19, p. 15). B. − [Sigle de l'Administration des Postes, Télécommunications et de la Télédiffusion. (dep. 1980)] Louis Mexandeau, passé du grade de ministre délégué des PTT à celui de ministre à part entière (Le Canard enchaîné, 20 nov. 1985, p. 2, col. 1). REM. P(.) et T(.), subst. masc. plur.[Utilisé fin xixes. et déb. xxes. comme sigle de Postes et Télégraphes, repris officiellement de 1959 à 1980 comme sigle de Postes et Télécommunications] Que les P et T (...) soient donc partie prenante dans les études de satellites à forte puissance (Réseaux, télécomm. et télématique ds S. Nora, A. Minc, L'Informatisation de la société, Annexes, 1978, p. 57).Un décret (...) signé en 1903 du président de la République vient confirmer (...) que les liaisons radio relèvent bien du monopole des P. et T. (C. Bertho, Télégraphes et téléphones, Paris, 1981, p. 362). Prononc.: [petete]. Étymol. et Hist. 1917 (ds B. des Postes et des télégraphes, n o16, p. 383). Init. de Postes Télégraphe Téléphone, anc. appellation du Ministère des Postes et Télécommunications jusqu'au 26 août 1959. |