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HYPSOMÈTRE, subst. masc.
A. − PHYS. ,,Appareil qui détermine l'altitude d'un lieu d'après la température à laquelle l'eau entre en ébullition`` (Ac. 1935; dict. xixeet xxes.).
B. − ÉLECTR. Appareil servant à mesurer les niveaux de transmission. Synon. népermètre. (Ds Lar. Lang. fr. et Lexis 1975).
Prononc. et Orth. : [ipsɔmεtʀ ̥]. Att. ds Ac. 1935. Étymol. et Hist. 1. [1856 phys. (La Châtre d'apr. Lar. Lang. fr.)]; 1858 (Littré-Robin); 2. 1959 électr. (Electron.). Composé du gr. υ ́ ψ ο ς « hauteur » et de l'élém. formant -mètre*. Au sens 1 : instrument mis au point par le physicien fr. H. V. Regnault (1810-1878), et nommé par lui thermomètre hypsométrique (1845, Annales chim. et phys., 3esérie, t. 14, p. 205); cf. hypsogoniomètre (1846, C.R. de l'Ac. des Sc., t. 45).