| GÂTE-PÂTE, subst. masc. inv. Mauvais boulanger, mauvais pâtissier; p. ext. ouvrier qui fait mal son métier (d'apr. Ac.). Prononc. et Orth. : [gɑtpɑ:t]. Ds Ac. 1798-1932. Au plur. des gâte-pâte(s). Cf. gâte-. Étymol. et Hist. 1690 (Fur., s.v. gaste-mestier : Gaste-paste, gaste-plastre, se dit des compagnons ignorans qui gastent les matières qu'ils employent). Composé de la forme verbale gâte (gâter*) et de pâte*. |