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EFFLUX, subst. masc.
Rare. Écoulement d'un fluide. Sur l'influence de la tension superficielle sur l'efflux d'un liquide en forme de jet (Phys. et Radium,1923, p. 732).
− P. métaph. Efflux éternisés de la nécessité divine, les anges ne sont, en substance, que dans la libre sublimité des cieux-absolus, où la réalité s'unifie avec l'idéal (Villiers de L'I.-A., Contes cruels,1883, p. 395).
Prononc. : [efly] ds Lar. Lang. fr. mais [eflyks] ds Besch. 1845. Étymol. et Hist. 1. 1792 méd. « expulsion du fœtus » (Encyclop. méthod. Méd.); 2. 1883 « émanation, écoulement » (Villiers de L'I.-A., loc. cit.). Dér. du lat. effluere (effluer*) d'apr. flux*, influx*. Au sens 1, cf. effluxion, attesté dans ce sens dep. 1690, Fur. (1372 au sens de « flux, écoulement » Propriétés des choses, II, 26, 12, éd. G. Raynaud ds Romania, t. 14, p. 474). Fréq. abs. littér. : 1.