| DÉCOTE, subst. fém. A.− FIN., DR. FISCAL. Exonération totale ou partielle en faveur de certaines catégories de contribuables. La « décote » sur stocks (qui intéresse essentiellement les affaires de dimensions appréciables) (Meynaud, Groupes pression Fr.,1958, p. 287). − BOURSE. [En parlant d'une valeur, d'une monnaie] Évaluation inférieure au taux du cours officiel ou d'un cours précédent (d'apr. Gilb. 1971). B.− P. ext., arg. Avoir la décote, c'est être mal considéré (Coindreau, Arg. Baille,1957, p. 126). Prononc. : [dekɔt]. Étymol. et Hist. 1952 « exonération fiscale » (Larousse mensuel ds Dub. Dér., p. 63); 1968 « perte subie en Bourse par un titre » (Baudhuin). Dér. de cote*; préf. dé-*. Bbg. Dub. Dér. 1962, p. 63. |