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cône d'éboulement loc. nom. m. GÉOMORPHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1865 - «Les crêtes qui longent les vallées produisent ainsi des versans ou haldes d'éboulement. Les plus forts débris roulent dans le torrent, sont entraînés par les eaux, et viennent se déposer à l'endroit où la vallée transversale débouche dans une vallée longitudinale ; ces dépôts se font d'ordinaire en forme d'éventail incliné, et sont connus sous le nom de cônes d'éboulement. Dans les gorges qui montent vers la haute chaîne des Alpes, on observe ces phénomènes à partir d'une altitude de 500 mètres. Parmi les haldes et cônes d'éboulement, il en est qui ont été assez consolidés par les siècles pour qu'on puisse y asseoir un chemin de fer [...]» Feer-Herzog, in R. des deux mondes, t.60, 15 nov., 489 - M.C.
1945 - «Les terrains éboulés foisonnent, et il arrive même que le cône d'éboulement ne gagne pas la surface, de sorte que des exploitants hardis ont systématiquement employé le foudroyage, en professant que, contre toute attente, ce procédé limiterait les dégâts de surface en régularisant les affaissements.» E. Schneider, Le Charbon, 236 (Plon) - FRANTEXT
halde d'éboulement loc. nom. f. rég. Alpes GÉOMORPHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1865 - «Les crêtes qui longent les vallées produisent ainsi des versans ou haldes d'éboulement. Les plus forts débris roulent dans le torrent, sont entraînés par les eaux, et viennent se déposer à l'endroit où la vallée transversale débouche dans une vallée longitudinale ; ces dépôts se font d'ordinaire en forme d'éventail incliné, et sont connus sous le nom de cônes d'éboulement. Dans les gorges qui montent vers la haute chaîne des Alpes, on observe ces phénomènes à partir d'une altitude de 500 mètres. Parmi les haldes et cônes d'éboulement, il en est qui ont été assez consolidés par les siècles pour qu'on puisse y asseoir un chemin de fer [...]» Feer-Herzog, in R. des deux mondes, t.60, 15 nov., 489 - M.C.
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