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éblouissement n.m. PERCEP. "effet d'émerveillement produit par la vue de qqch." - GR[85], cit. Proust ; absent TLF.
1832 - «Pour le spectateur qui arrivait sur ce faîte, c'était d'abord un éblouissement de toits, de cheminées, de rues.» Hugo, Notre-Dame de Paris, livre 1, 141 (Garnier, 1959) - G.M.-D.
1863 - «Je vois au Bois de Boulogne une voiture qui est un éblouissement d'or et d'argent, une voiture insolente.» E. et J. de Goncourt, Journ., t.1, 1082 (Flammarion, 1959) - G.M.-D.
1880 - «La chambre était faite pour servir de cadre au lit, un prodige, un éblouissement [...]» Zola, Nana, in Zola, Les Rougon-Macquart, t.2, 1434 (Fasquelle-Gallimard, 1961) - G.M.-D.
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