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descente en vrille loc. nom. f. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1924 - «Or, aucune sensation sportive, à part peut-être la griserie de l'aviation, n'égale l'enchantement de ces descentes en vrille, où le skieur, maître de l'espace et de ses moyens, dévale des pentes les plus impressionnantes avec une gracieuse nonchalance au rythme berceur de ses virages [...]» L'Echo des Alpes, 150 - M.J.
vrille n.f. AÉRON.  "accident" - TLF, 1916-18 ; R et PR[77] (cit.), GLLF, 1937, Malraux.
*1920 - «La perte de vitesse peut provoquer la vrille, notamment quand elle est due à une inversion de commandes. Une spirale que l'on a 'serrée' avec excès [...] peut également dégénérer en vrille A. LainéDict. de l'aviation, 404 (Charles-Lavauzelle) - M.C.E.
vrille n.f. AÉRON.  "voltige aérienne"  - Lex.[75], v. 1900 (?) ; GLLF, 1933, Lar. ; R, PR[77], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1918 - «Il passait pour un pilote déjà expert, capable de faire des vrilles après trois mois à peine de pilotage.» H. BordeauxLe Chevalier de l'air. Vie héroïque de Guynemer, chant II, I, 93 (Plon-Nourrit) - M.C.E.
*1921 - «[parmi les acrobaties aériennes,] la vrille, descendante verticale de l'avion en perte de vitesse, qui s'accompagne d'un mouvement de rotation et peut aussi bien servir à fondre sur l'adversaire qu'à déserter une rencontre inégale.» Lar. mensuel, mars, V, 391-2 - M.C.E.