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globe céleste loc. nom. m. ASTRON. - FEW (4, 157b), GLLF, 1636, Havard ; L, R, Lex.[75], PR[77], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1616 - «[...] il n'y auoit du tout rien de graué en sa superficie exterieure, ni estoilles, ni regions ; d'où il paroist ou qu'on ne la pas acheué, ou qu'on l'a ainsi laissé à dessein, afin qu'il seruist de globe celeste et terrestre.» D.F. de Riquebourg-Trigault, trad. : N. TrigaultHist. de l'expédition chrestienne au royaume de la Chine, 606 (Cardon) - P.E.
*1618 - «Tu les pourras toutes voir despeintes au Globe celeste, chacunes exprimées par leurs images et grandeurs [...]» D. Henrion, trad. : R. HuesTraicté des globes, et de leur usage, 55 (Pacard) - P.E.
*1633 - «Je n'ay encores peu avoir des Globes de la qualité que vous le desirez ; j'ay donné commission pour en faire venir une coupple ; car vous me demandez le Terrestre, et Mr Aycard me dit que vous voulez le Celeste ; de sorte que pour ne faillir, je les ay demandez tous deux.» PeirescLet., VII, 111 (Impr. nat.) - P.E.
matière céleste loc. nom. f. PHYS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1647 - «Mais afin de pouvoir exactement calculer combien est grande cette pesanteur, il faut considerer qu'il y a quelque quantité de matiere celeste dans les pores de ce corps B, laquelle ayant autant de force qu'une pareille quantité de celle qui est dans les pores de la portion d'air qui doit monter en sa place, fait qu'il n'y a que le surplus qui doive estre conté ; & que tout de mesme il y a quelque quantité de la matiere du troisième element en cette portion d'air, laquelle doit estre rabatuë avec une égale quantité de celle qui compose le corps B, Si bien que toute la pesanteur de ce corps consiste en ce que le reste de la matiere subtile qui est en cette portion d'air, a plus de force à s'éloigner du centre de la Terre, que le reste de la matiere terrestre qui le compose.» Abbé Picot, trad. : DescartesLes Principes de la philos., 303-4 (H. Le Gras, Impr. P. Des-Hayes) - P.P.
supercéleste, super-céleste adj. ÉGYPTOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1842 - «Supercéleste (myth.), se dit Des huit grands dieux adorés par les prêtres égyptiens.» Complément Acad. - TGLF
1858 - «Au premier rang étaient assis les dieux super-célestes, Knef, Bouto [...]» Th. GautierLe Roman de la momie, 202 (Plon, 1929) - A.Ré.
voûte n.f. littér. NATURE "- du ciel" - GLLF, DHR, TLF, 1678, La Fontaine.
1566 - «Il n'y a gent souffrant peine dure et moleste / Dessous le courbe tour de la voute celeste / Tant que vous en portez.» L. Des MasuresTragédies saintes, 195 (Cornély, STFM) - P.E.
1579 - «Las, ô rigueur du ciel ! ô voute lumineuse ! O Celestes cruels !» R. GarnierLa Troade, Antigone, 20 (Les Belles lettres) - P.E.
1582 - «L'Ocean en fremit, la terre en trembla toute, / Et du ciel estonné branla l'horrible voûte : / Au coeur des ennemis la frayeur descendit.» R. GarnierLes Juifves, Bradamante, Poésies diverses, 122 (Les Belles Lettres) - P.E.
voûte n.f. littér. NATURE "- du ciel" - GLLF, DHR, TLF, 1678, La Fontaine.
• voûte des cieux
  - GLLF, av. 1714, Fénelon ; TLF, ø d.
1559 - «Le Soleil [...] ne void point encor sous la voute des cieux / Vn qui soit plus acort, & moins ambitieux [...]» O. de MagnyLes Odes, 5 (Scheuring) - P.E.
v. 1564 - «Quoy ! Y a il quelqu'un soubz la vouste des cieulx / Qui de vous oultrager fut si audacieux ?» Deux moralités de la fin du moyen âge et du temps des guerres de religion, 84 (Droz) - P.E.
1565 - «[...] il y a peu de personnes sous la voute des cieus preferans la raison à toute passion [...]» J. TahureauLes Dialogues, 4 (Droz) - P.E.
1575 - «Et qu'on voioit desjà la grand voulte des cieux / Bruller de toutes pars [...]» Les Efforts et assauts, in Recueil de poésies fr., VI, 329 (Jannet) - P.E.
voûte n.f. littér. NATURE "- du ciel" - GLLF, DHR, TLF, 1678, La Fontaine.
• voûte du ciel
  - GLLF, av.1794, Chénier ; TLF, cit. Flaubert, 1877.
1565 - «Helas, pauvres nous ! Rien de ferme ne sejourne / Sous la vouste du ciel qui ce rond environne [...]» J. BéreauOeuvres poétiques, 202 (Libr. des bibliophiles) - P.E.
1583 - «Mon penser la suivit, au defaut de mes yeux, / Jusqu'aux voûtes du ciel tout clair de sa venue [...]» Ph. DesportesCartels et masquarades, Epitaphes, 101 (Droz) - P.E.
voûte n.f. littér. NATURE "- du ciel" - GLLF, DHR, TLF, 1678, La Fontaine.
• voûte divine
  - L, cit. Volt. ; absent TLF.
1600 - «Et l'oeil de la voulte divine / Qui fait luire ce grand soleil [...]» A. de VermeilPoésies, 7 (Droz) - P.E.
voûte n.f. littér. NATURE "- du ciel" - GLLF, DHR, TLF, 1678, La Fontaine.
• voûte étoilée
  - GR[85], cit. Racine ; absent TLF.
1584 - «Or le Roy trois-fois grand de la voute estoilee, / Qui prévoiant, ne peut rien faire à la volee [...]» Du BartasLa Seconde semaine, I, 46 (STFM) - P.E.
1596 - «Il semble a t'ouir, Camarade, que tu as, en passe-volant, furlucqué tous les recoings, cantons, et lizieres de la voute estoilée [...]» R. MortierLe "Hochepot ou Salmigondi des folz", 101 (Bruxelles, Palais des Académies) - P.E.
1643 - «C'est ainsi qu'au matin l'Aurore eschevelée / Vient annoncer le jour sur la voûte estoilée [...]» Saint-AmantOeuvres, II, 100 (Didier, STFM) - P.E.
voûte (en -) loc. adv. ESPACE/LIEU/FORME - TLF, 1539, Est. ; GLLF, 1690, Fur. ; GR[85], ø d.
*1546 - «Sur le bord de ces accoudoers la treille commencoit a se tourner en voulte [...]» J. Martin, trad. : [F. Colonna]Discours du songe de Poliphile, 124 r° (Club des libraires de France) - P.E.
*1550 - «Lict, que le fer industrieus / D'un artisan laborieux / A façonné, t'honorant d'un tel tour / Qu'a ce grand monde en vouste tout autour.» RonsardOeuvres complètes, I, 257 (Hachette, STFM) - P.E.
*1606 - «Fait en voute, comme la coquille d'une tortuë, Testudineatus, Testudineus.» NicotThresor, 669b (Picard) - P.E.
voûte mouillante loc. nom. f. GÉOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1908 - «[...] les abaissements de plafonds, où la roche encaissante est de toutes parts immergée, en voùtes mouillantes ou siphons d'aqueducs E.-A. MartelL'Evolution souterraine, 68 (Flammarion) - C.T.
voûte palatine loc. nom. f. ANAT. - GLLF, 1875, Lar. ; L, DG, Lex.[79], TLF, GR[85], ø d.
1819 - «[...] le grand rameau palatin lui-même sort enfin de son canal au niveau de l'ouverture pharyngienne de la bouche, se recourbe en devant sous la voûte palatine, et s'y divise en plusieurs filets principaux [...]» Dict. des sciences médicales, XXXIX, 96 (Panckoucke) - E.T.
1854 - «VOUTE, s.f. [...] En anatomie [...] Voûte palatine. Cloison que forme la paroi supérieure de la bouche et inférieure des cavités nasales.» La ChâtreDict. - TGLF