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contre-vissage n.m. SKI - RSp., 1961, Encycl. ; absent TLF.
1933 - «Le contre-vissage empêche la simple rotation de se perdre vers le haut, tout en la renforçant vers le bas [...] b) l'Ecole du christiania. Les éléments de ce virage sont de véritables vissage et contre-vissage en utilisant le facteur de rotation de la force vive du corps avec pression des talons.» La R. du ski, n° 10, déc., 244 - C.T.
1935 - «Pour augmenter l'efficacité du mouvement de vissage, on débute par un contre-vissage, qui trouve son appui sur le mouvement inverse par un redressement du corps, si le vissage part des épaules ou par un abaissement du corps s'il part des skis.» P. Schnaidt, La Technique du ski, 20 (Genève, Sonor) - C.T.
1935 - «Télémark arraché [...] Si, au moment de tourner le ski en position de télémark, on transporte le poids du corps du ski intérieur sur le ski extérieur par un mouvement de vissage appuyé sur un contre-vissage, on obtient un virage-arrêt beaucoup plus bref et rapide, on arrache le mouvement.» P. Schnaidt, La Technique du ski, 48 (Genève, Sonor) - C.T.
vissage n.m. SKI - RSp., TLF, 1939, Gredig ; in Ga [1969].1909, in GR[85], correspond au t. de gymn. ; cf. RSp.
1925 - «Pour faire un virage vers l'aval (descente en S), le vissage du corps est insuffisant ; il faudra faire précéder le Christiania pur par un contrepas. Le contrepas est l'inverse du pas du patineur [...] soulever un ski et le poser dans une position convergente ; au moment où on le pose, soulever l'autre et le poser à côté du premier dans la nouvelle direction.» R. alpine, n° 2, 2e trim., vol. 26, 77 - C.T.
1928 - «On peut, à n'importe quel moment, transformer un freinage-virage en arrêt-freinage ; pour cela, il suffit de laisser agir les aides de la deuxième phase du freinage, en augmentant la poussée tournante, la charge et le 'vissage' sur le ski extérieur qu'on laissera poursuivre sa route sans le déverser ; le mouvement tournant continuera jusqu'à ce que l'arrêt s'ensuive.» A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. Barblan, L'Art du ski, 161 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
1930 - «Le chasseneige-christiania, qui fait l'objet du présent chapitre, est surtout un virage vissé pur, produit par une rotation du corps, mais le vissage est parfois amorcé par un élément de gouverne. Le chasseneige-christiania peut aussi se décrire comme un croisement de christiania pur et de chasseneige, ses caractéristiques générales se rapprochant d'ailleurs beaucoup plus du premier.» A. de Gennes, trad. : A. Lunn, Le Ski alpin , 117 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1935 - « Pour augmenter l'efficacité du mouvement de vissage, on débute par un contre-vissage, qui trouve son appui sur le mouvement inverse par un redressement du corps, si le vissage part des épaules ou par un abaissement du corps s'il part des skis. [...] Si, par contre, le même ski en mouvement est délesté à l'arrière [...] et qu'en prenant l'avant lesté comme pivot on lui fasse subir un mouvement de rotation (vissage), le ski se mettra brusquement en travers de la pente. C'est le principe de l''arraché'.» P. Schnaidt, La Technique du ski, 20 et 41 (Genève, Sonor) - C.T.
1938 - «Virage en stem (nouvelle appellation du stembogen, qui n'est autre que la traduction littérale de ce mot) puis étude du dérapage latéral pour préparer le christiania avec léger vissage, mais surtout en veillant à ce que l'élève conserve constamment son avancée.» La R. du ski, n° 1, janv., 12 - C.T.
vissage angulation loc. nom. m. SKI - RSp., 1969, Gautrat ; absent TLF.
1958 - «Un paragraphe est consacré à l'évolution de la méthode française [de ski] et pour ne pas être en reste avec la grande actualité, les derniers nés des mouvements de la technique sont examinés : le 'feston', le 'chassé pivoté', le 'vissage angulation', et la 'godille moderne'.» La Montagne et alpinisme, n° 16, févr., 190 - C.T.
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