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râle vésiculaire loc. nom. m. MÉD. "bruit que fait entendre la respiration dans la pneumonie du premier degré" - TLF, 1855, Littré-Robin [d'apr. DDL 14] ; FEW (14, 342a), 1872 ; L, ø d.
*1861 - «[...] les râles qui se produisent dans les cellules pulmonaires ne peuvent avoir le même son que ceux qui prennent naissance dans la cavité amplifiée de la plèvre (râle vésiculaire et tintement métallique).»Ed. Monneret, Traité de pathologie gén., III, 480 - C.H.
râle vésiculaire loc. nom. m. MÉD. - DDL 8, 1861 ; L, ø d ; FEW (14, 342a), 1872.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1855 - «râle vésiculaire. Synonyme de râle crépitant. V. râle.» Nysten, Littré et Robin, Dict. de méd. (10e éd., Baillière) - J.Gh.
vapeur vésiculaire loc. nom. f. PHYS. - TLF (masses vésiculaires), cit. Verne, 1868 ; L, ø d.
1799-1801 - «La vapeur vésiculaire est formée par la vapeur élastique qui se condense en vésicules, lorsque l'air en est supersaturé, et qui se change ensuite en gouttelettes [...] je rapporterai seulement une anecdote relative à Desaussure qui avait prévu les aerostats en observant les vapeurs vésiculaires, et qui avait entrevu la possibilité d'élever des poids considérables par un procédé analogue à celui de ces vésicules flottant dans l'air [...]» J. Senebier, Mém. hist. sur la vie et les écrits de Horace Bénédict Desaussure, lu à la Soc. de phys. et d'hist. nat., Genève, 23 prairial an VIII, 91 et 97 (Genève, Paschoud, an IX) - P.P.
1832 - «On admet, en général, que les vapeurs qui constituent les nuages sont des vapeurs vésiculaires, c'est-à-dire, des amas de petits globules remplis d'air humide, tout-à-fait analogues aux bulles de savon.» M. Pouillet, Elémens de phys. expér. et de météorol., t.2, 2e part., 753 (2e éd., Béchet) - P.P.
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