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ultracisme n.m. POLIT. - TLF, 1815 ; Ls, Sainte-Beuve.
*1831 - «Une forte pension secrète l'indemnisait des violentes scènes d'ultracisme que le marquis croyait lui devoir faire en public.» Balzac, Oeuvres diverses, 2, 308 - P.W.
*1835 - «Cette famille est exemplaire par la tristesse, la dévotion, la régularité et l'ultracisme [...]» Stendhal, Vie de Henry Brulard, 59 (Gallimard) - P.W.
*1836 - «Lucien lui avait fait le sacrifice de son libéralisme, et elle à lui de son ultracisme [...]» Stendhal, Lucien Leuwen, ch. 31 - P.W.
*1842 - «Exagération dans les opinions politiques, surtout en fait de royalisme. Quelques personnes disent Ultracisme [...]» Complément Acad.
ultracisme n.m. POLIT. - R, v. 1800 ; DDL 10, 1831, Balzac ; Ls, Sainte-Beuve ; absent TLF.
*1825 - «Il y a peu de temps on attaquait la religion et la monarchie sous le nom d'ultracisme, depuis on leur a donné le manteau de gouvernement occulte, aujourd'hui on les frappe à grands coups derrière ce qu'on appelle les Jésuites, la Congrégation, le papisme, et enfin l'abbé de La Mennais.» Berryer, let., in Le Portefeuille de Lamennais, 34 (Renaissance du Livre) - P.E.
*1827 - «Le renvoi de M. Decazes signifia l'apogée de l'ultracisme pur, qui, après cet exploit, tomba de fatigue.» Eckstein, Le Catholique, n° 24, déc., 476 - P.E.