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burlesco-comico-tragique adj. LITT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1870 - In titre : Rapinéide. ou l'atelier Poème burlesco-comico-tragique en 7 chants. In Catalogue de la Librairie d'Argences, numéro 115, 36 - C.T.
comico-tragique adj. AFFECT. - TLF, 1850, Balzac.
*1892 - «En fait d'intermède comico-tragique, nous avons eu la grève des cochers.» Le Journ. amusant, 27 août, 2c - G.S.
tragique n.m. THÉÂTRE  "dramaturge" - TLF, 1550, Ronsard ; FEW (13/II, 160b), 1685 ; L, Racine ; R, cit. La Bruyère ; Lex.[75], PR[77], ø d.
*1561 - «[...] je me suis contenté, ensuyvant les Tragiques Grecs, de ma langue, sans en emprunter une estrangère pour exprimer ma conception.» J. Grévin, Théâtre complet et poésies choisies, 7 (Garnier) - P.E.
tragique n.m. LITT. "genre, aspect typique de la tragédie" - TLF, 1623, Chapelain ; GLLF, av. 1696, La Bruyère ; DHR, fin 17e, La Bruyère ; FEW (13/II, 160b), La Bruyère.
1566 - «Que si quelqu'un s'avance à reprocher ce poinct, / Que la chose deduite au nom ne respond point, / Et que sentir au vray ne fait ma basse vene / Le Tragique, induisant à la fin de la Scene / Un spectacle piteux et miserable à voir [...]. Le tragique au theatre induit devant les yeux les personnes des rois, des princes, des faux dieux : il feint les dieux tonnans, les deesses armees, il fait veincre par eux, et fondre les armees.» L. Des Masures, Tragédies saintes, 10 et 97 (Cornély, STFM, 1907) - P.E.-FXT