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collapse n.m. d'apr. angl. ÉVÉN.  TRANSF. "fig. : effondrement" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1972 - «[...] selon Illich, nos outils ont atteint une dimension et une puissance telles que leur utilisation entraîne l'enrégimentement, la dépendance, l'exploitation et l'impuissance. D'où le 'collapse' - effondrement inévitable - de nos sociétés. La seule issue, à ses yeux, c'est l'instauration d'une économie 'conviviale' [...]» P. Loriot, in Le Nouv. Observateur, 11 sept., 63 - AFC
1974 - «[...] même ces grands pays avec leurs ressources aussi bien humaines que naturelles pourraient pour des raisons de collapse, si vous me permettez le mot, des raisons d'effondrement intérieur, être modifiés de fond en comble.» Le Chah d'Iran, cité in L'Express, 30 déc., 34 - AFC
1986 - «Le collapse du marxisme s'effectue de 1973 à 1977, avec l'autodémythification de la Chine maoïste, du Viêt-nam, du Cambodge [...]» Le Nouv. Observateur, 13 juin, 54 - K.G.