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bouchon n.m. JEUX ADRESSE - GLLF, Mat. I, ND3, PR[73], TLF, 1844, Vidocq ; L, ø d jouer au bouchon : FEW (15/I, 201b), 1845, Besch. ; DG, ø d
Add.DDL :
*1842 - «A quelque distance de l'église, j'ai retrouvé nos paysans réunis sur une vaste place, et presque tous occupés à jouer. [...] Je m'approchai des jeux ; les plus suivis étaient le bouchon, les neuf creux, la petite boule, les grosses boules et surtout le rampeau ou jeu de trois quilles. Le rampeau est le jeu de prédilection du Bourbonnais.» A. Legoyt, in Les Français peints par eux-mêmes, Province, III, 157 - P.E.
bouchon n.m. MILIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1967 - «Combats d'avant-postes, perte des bouchons de Guebenhouse et de Grundviller.» Ministère des Armées, Etat-Major de l'Armée de Terre, Service historiqueGuerre 1939-1945 : les grandes unités fr. : historiques succincts, I, 407 sqq - R.R.
bouchon n.m. JEUX ADRESSE - DDL 12, 1842 [repris in DHR] ; GLLF, TLF, 1844, Vidocq ; FEW (15/I, 201b), 1845, Besch.
1828 - «[...] le petit Coco allait dans le jardin se mêler à ces groupes de polissons qui, entre le bouchon et la toupie, tiennent l'école mutuelle des tours de passe-passe.» VidocqMém., II, 430 (Cercle du bibliophile) - P.E.
1832 - «Le jeu national du gamin, son jeu favori, c'est le bouchon. Il faut du coup d'oeil, il faut de l'adresse [...]» G. d'Outrepont, in Paris, ou le Livre des Cent-et-un, VII, 133 (Ladvocat) - P.E.
1836 - «Au Gymnase-Enfantin on ne croit qu'à la coqueluche et à la rougeole. Pendant les entr'actes, le jeune premier mange de la galette, et le père noble joue au bouchon Le Cabinet de lecture, n° 166, 9 juill., 13b - P.E.
bouchon n.m. non conv. MOUV. "fig. : chute" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1911 - «Mes chers Messieurs, pour la première fois depuis vingt-et-un ans, j'ai ramassé "une pelle" avant hier, à bicyclette. Mais là, vous savez, une bûche, un bouchon, tout à fait adéquat à ma position et à ma qualité [...] tout à coup, un "paquet" de vent me saute dessus, me "balance" une seconde, sur le routin étroit, et ... patatras !» L'Auto, 13 mars, 1c - J.Hé.
bouchon n.m. TECHNOL. "couvercle métallique adapté à une source de chaleur" - FEW (15/I, 201b), 1863 ; absent TLF.
1709 - «Un Bouchon de four de taulle [...].» Québec, Archives nationales du Québec, Greffe de Jacques Barbel, 25 sept., [2] - TLFQ
bouchon (c'est plus fort que de jouer au -) loc. phrast. non conv. PHRASÉOL. "pour marquer une vive surprise ou la difficulté d'une entreprise" - BEI, 1860, A. Dalès ; TLF, cit. Courteline, 1888 (- avec des pains à cacheter) ; DEL, 1910 (- avec des boules de gomme dans un plat d'épinards) ; FEW (15/1, 202a), 1920 ; DEL, cit. Leiris, 1948 ; GR[85], cit. G. Leroux ; GLLF, ø d.
Var. développée :
1907 - «JOUER AUX BOUCHONS (PLUS FORT QUE JOUER) - et l'on ajoute : "dans la neige, avec des pains à cacheter, quand il fait beaucoup de vent", c'est-à-dire faire une chose fort difficile.» H. FranceDict. de la langue verte, 187 (Nigel Gauvin) - Ch.Bu.
bouchon (faire sauter le -) loc. verb. non conv. US. ALIM. "boire, festoyer" - L [1863], GLLF, TLF, GR[85], DEL, ø d.
• faire partir les bouchons
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1745 - «Une heure se passa à badiner, à faire partir les bouchons, et à casser des verres et quelques porcelaines.» Cl. Godard d'AucourThémidore ou mon histoire, 290 (Laffont, Coll. Bouquins) - P.R.
bouchon de neige loc. nom. m. ALP. - In Ga [1970] ; absent TLF.
1906 - «Les bouchons de neige ne nous ont pas permis de vérifier si, comme le prétendent les bergers, il existerait là de vrais abîmes, pareils aux puits à neige du Dévoluy.» La Montagne, numéro 11, nov., 515 - C.T.
1940 - «Amas de neige bouchant partiellement ou totalement l'intérieur d'une crevasse.» SamivelL'Amateur d'abîmes, Petit dict., 230 (Stock, Coll. Les Livres de nature) - C.T.
broche tire-bouchon loc. nom. f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1975 - La Montagne et alpinisme, numéro 99, 1, VIII, Publ - C.T.
gobelet-bouchon n.m. ÉCON. DOM. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1926 - «Il dévissa le goblet-bouchon [sic], versa une rasade [...]» N. Maillard, L'Aventure transatlantique, in Le Miroir des sports, 7 juill., 26b - G.S.
mâche-bouchon n.m. TECHNOL. - GLLF, 1873, Lar. ; FEW (6/I, 458a), 1877 ; Ls (-s), DG, ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1850 - «Mâche-bouchon. - C'est un petit appareil encore à peu près inconnu en pharmacie. Son nom indique qu'il sert à ramollir par la pression la substance des bouchons et à faciliter leur introduction dans le goulot des bouteilles.» DorvaultL'Officine, 788 (Labé) - P.E.
tire-au-cul n.m. arg. , non conv. , péjor. CARACT. - GLLF, GR[85], DArg., 1887, d'ap. Esnault ; TLF, cit. Courteline, 1888 ; FEW (6/I, 406a), 1920, Bauche.
• tireur au cul
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1897 - «Bougre de Savoyard de tireur au cul, voulez-vous rester là et attendre vos camarades pour partir à la manoeuvre !» A. JarryLes Jours et les nuits, 137 (Mercure de France) - P.E.
tire-bouchon n.m. COIFF. - R, PR[77], cit. Nerval [1844] ; GLLF, 1852, Nerval ; L, FEW (6/I, 414b), 1872.
Add.DDL
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
*1827 - «Coiffure à cache-peigne. - Cette coiffure avait beaucoup de rapport avec la précédente [la coiffure à chou], seulement le chou était moins plat, et l'on plaçait sur le côté une grande quantité de tire-bouchons qui, retombant sur le devant, cachaient en partie le peigne, circonstance qui avait déterminé le choix de leur nom.» Mme CelnartMan. des dames ou L'Art de la toilette, 135 (Roret) - M.C.E.
*1829 - «Beaucoup de femmes portaient de ces tire-bouchons qu'on nomme anglaises [...]» Journ. des dames, 31 juill., 330, cité par Greimas, in TLF (s.v. anglais) - M.C.E.
*1835 - «Coiffée à la Sévigné, vêtue d'une robe de cachemire blanc, ornée de noeuds roses [...] La robe blanche à noeuds roses, les tire-bouchons à la Sévigné.» Balzac, La Fleur des pois, Le Contrat de mariage, 1ère journée, in BalzacEtudes de moeurs au XIXe siècle , t. II, 76 et 92 (Mme Charles-Béchet)orig. du Contrat de mariage - M.C.E.
*1838 - «Elle avait les joues encore fraîches [...], des tire-bouchons très-éveillés aux tempes [...]» BalzacLa Maison Nucingen, [à la suite de] La Femme supérieure, t. II, 254 (Werdet) - M.C.E.
*1843 - «Devant, des bandeaux ou des tire-bouchons, selon que la physionomie l'exige [...]» Le Moniteur de la mode, 30 juill., 90 - M.C.E.
tire-bouchon n.m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1970 - «Les différents types de broches à vis, pleines ou tubulaires, ont marqué un pas important dans les moyens de protection. Ils sont très largement utilisés mais toutefois, il convient d'employer avec discernement les tire-bouchons d'un usage si pratique, mais qui sont parfois assez fragiles.» La Montagne et alpinisme, numéro 78, juin, 301 - C.T.
tire-bouchon n.m. COIFF. - DDL 16, TLF, 1827, Mme Celnart ; GLLF, 1852, Nerval ; L, FEW (6/I, 414b), 1872 1805, in GR[85], concerne la loc. en tirebouchon ; cf. DDL 20
1821 - «[...] aussi, n'entendez-vous que ces mots : mes cheveux ne frisent pas. Cependant la mode n'exige qu'un demi-tour ; il ne s'agit plus ni de tirebouchons, ni d'anneaux.» Journ. des dames et des modes, numéro 49, 5 sept., 392 - P.E.
tire-bouchon (en -) loc. adv. COIFF. - FEW (6/I, 414b), 1835, Acad. ; GLLF, 1852, Nerval ; R, cit. Balzac ; L, DG, PR[77], ø d.tire-bouchon : DDL 16, 1827, Mme Celnart ; R, PR[77], cit. Nerval [1844] ; GLLF, 1852, Nerval ; L, FEW, 1872.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1805 - «Les cheveux lisses, dégageant la tempe droite, et passant en large bandeau sur le front, pour descendre en tirebouchon sur l'oreille gauche, formaient la très grande majorité des coiffures.» Journ. de l'Empire, in Ch. SimondParis de 1800 à 1900, I, 120 (Plon) - P.E.
tire-bouchonner v.tr. ESPACE/LIEU/FORME - PR[73], 1869 ; ND3 (ø indic. gramm.), 1872.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1819 - «J'ai parlé des coëffeurs de femmes, comme pour prendre un détour et me donner les tems de la réflexion. Frédéric, Hyppolite, Plaisir et quelques autres ont été nommés comme très-habiles dans l'art de tondre ou de papilloter, de tresser ou tirebouchonner les mêches cendrées ou dorées de nos élégantes [...]» Journ. des dames et des modes, 5 févr., 50 - P.Z.
tire-bras adj. ALP. - RSp., GR[85], 1970, Gautrat ; absent TLF.
1966 - «Après quelques autres passages tout en finesse, nous remontons pendant plusieurs longueurs de corde une cheminée vicieuse, très tire-bras, dans laquelle nous utiliserons tous les coincements de genoux et d'épaules possibles, tantôt extérieure, tantôt tarabiscotée et rentrante elle nous donne le sentiment soit d'évoluer sans appui réel sur du blanc dilué de bleu, ou, comme tel crabe malhabile et coincé, de ne plus pouvoir nous dégager d'une anfractuosité.» La Montagne et alpinisme, numéro 57, avr., 240 - C.T.
tire-cartouche n.m. ARME - Ls, GLLF, 1876 ; FEW (6/I, 415a), 1877 ; TLF, cit. Dict. 19e ; Lex.[75], ø d.
1867 - «Dans le Fisbery, qui est un fusil à tabatière et à renversement, le tonnerre se relève et permet de placer la cartouche, comme dans l'Albini ; mais le tire-cartouche, la lame qui fait ouvrir la batterie sont spéciaux [...]» Exposition universelle de 1867 à Paris, Rapports du jury international, IV, 490-1 (Dupont) - P.E.
tire-chiffon, tire-chiffons n.m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1931 - «Si un objet ou effet apparaît dans la masse neigeuse (coiffure, lunettes à neige, gants) et si on ramène un morceau d'étoffe avec le tire-chiffons qui est à l'extrémité de la sonde [...] ouvrir en ce point une tranchée. [...]Des sondes ou lances à avalanche (lances de fer creux terminées par une pointe mousse ou mieux par un tire-chiffon) et des hoyaux à neige sont disposés dans les postes de vallée et de montagne". » La Montagne, numéro 231, mars-avr., 111 et 113 - C.T.
tire-d'imagination (à -) loc. adv. plais. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1902 - «Et parce qu'un toast, brûlé et noirci, parfume la chambre de créosote et de charbon frais, me voici partie, à tire-d'imagination, vers Montigny, vers la cheminée à hotte... Je crois voir, je vois Mélie y jeter un fagot humide [...]» Colette, Claudine en ménage, in ColetteOeuvres, vol. 1, 332 (Flammarion, 1960) - M.C.
tire-fesse, tire-fesses n.m. non conv. SKI - Lex.[79], DMC, RSp., GR[85], v.1960 ; GLLF, 1967.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1960 - «Bruno, durant une petite semaine, put se suspendre au tire-fesse et savonner la piste [...]» H. BazinAu Nom du fils, 173 - P.W.
tire-l'oeil n.m. PERCEP. - absent TLF.
Add.DDL :
*1886 - «[...] un homme comme tout le monde, sans une taie, une bosse, un tire-1'oeil, n'aurait pas fait son affaire.» VallèsL'Insurgé, 76 (Ed. fr. réunis, 1950) - B.N.
tire-l'oeil n.m. PERCEP. - FEW (6/I, 406b), GLLF, 1879, A. Daudet ; DDL 1, PR[77], 1886, Vallès.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1879 - «Evidemment, c'est imagé, et des écrivains peuvent tirer un parti extraordinaire de cette façon de relater des choses. Ce tire-l'oeil plaît à tous ceux qui aiment mieux voir que penser. Ceci, c'est le réalisme littéraire.» L'Ecole des femmes, 23 oct., 195b - G.S.
tire-la-langue n.m. non conv. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1976 - «[...] les skieurs, ah ah ! c'est ma bête-à-souffrir le skieur, faut bien être méchant avec quelqu'un ! Je me coltine plus très souvent les gares, mais les rentrées des neiges et ce genre de festivités en plein janvier du tire-la-langue, bon j'y vais, mais je prends pas les skis !» V. ThérameLa Dame au bidule, 153 (Ed. des Femmes) - K.G.
tire-laine n.m. CRIMES "voleur" - TLF, v. 1600, d'apr. Esnault ; FEW (6/I, 415a), 1611, Cotgr. tirer la laine : BEI, 1640, Oudin
1584 - «[...] il n'y a point de lieu où les coupeurs de pendans, les matois et les tire-laine ayent tant d'impunité et de vogue qu'à Paris.» F. d'Amboise, Les Neapolitaines, in Ancien théâtre français, VII, 324 (Jannet, 1855-57) - P.E.
tire-lait n.m. PHARM. - TLF, 1844, Dorvault ; PR[72], 1924 ; FEW (6/I, 415a), 1933, Lar. ; ND2, 20e.
*1878 - «Pendant deux mois, matin et soir, la mamelle gauche était soumise à des succions au moyen du tire-lait de Mathieu.»Journ. de méd. et de chir. pratiques, XLIX, 27 - C.H.
tire-lait n.m. PHARM. - DDL 8, 1878 ; PR[73], 1924 ; FEW (6/I, 415a), 1933, Lar. ; ND3, 20e.
Corr. et compl.TLF (mêmes réf., 1844)
1850 - «Tire-lait ou biberette... 6 fr.» DorvaultL'Officine, 912 (Labé) - P.E.
tire-monde n.f. non conv. MÉD.  MÉTIER "sage-femme" - TLF (madame Tire-monde), cit. Vidocq, 1828-29 ; FEW (6/III, 219b), Saint-Fargeau [1862-64].
Add.DDL :
*1838 - «Sage-femme... Tire-monde Moreau-Christophe, in Dict. de la conversation et de la lecture, 60 (s.v. argot) - J.Ho.
tire-monde n.f. MÉD.  MÉTIER "sage-femme" - TLF (madame -), cit. Vidocq, 1828-29 ; DDL 31, 1838 ; FEW (6/III, 219b), Saint-Fargeau [1862-64].
1752 - Dict. univ. de Trévoux - R. L. rom., 53, 244.
1786 - LerouxDict. comique, II, 525aussi dans : Boiste, 1800 ; Landais, 1834 - R. L. rom., 53, 244.
tire-skis n.m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1917 - «Que l'on emploie les 'tire-skis' du commerce ou de simples ficelles, il faudra toujours veiller à ce que les skis soient liés l'un à l'autre par une ligature supplémentaire indépendante.» H. Faes et P.-L. MercantonLe Man. du skieur, 16-17 (Lausanne, Impr. réunies) - M.J.
tirebouchonner, tire-bouchonner v.tr. RELAT.  "fig. : extirper" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
*1863 - «L'académicien [...] prédisait que l'abbé Gratry, qui s'était laissé, avec tant d'innocence, tire-bouchonner par M. Villemain une promesse qu'il croyait si bien tenir, devait renoncer à l'Académie tout le temps qu'il y aurait des Orléanistes à placer, et il y en aura toujours !» Barbey d'AurevillyLes Quarante médaillons de l'Académie, 121 (Pauvert) - P.E.
tirebouchonné, tire-bouchonné adj. ESPACE/LIEU/FORME - FEW (6, 414b), 1874, Flaubert ; Ls, ø d -er : ND2, 1872 ; FEW, 1881
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1843 - «Les notes sont représentées s'échappant du clavier sous forme de fusées et de spirales capricieusement tirebouchonnéesGautierL'Orient, Le haschisch, II, 55 (Fasquelle) - A.R.-J.De.
tirebouchonné, tire-bouchonné adj. ESPACE/LIEU/FORME - DDL 6, 1843, Th. Gautier (autre texte) ; FEW (6/I, 414b), 1874, Flaubert ; Ls, ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1843 - «On ne met pas ici de buis bénit dans les chambres, mais de grands rameaux en forme de palmes, tressés, nattés et tire-bouchonnés avec beaucoup d'élégance et de soin.» Th. GautierVoy. en Espagne, 61 (Julliard) - P.E.
*1847 - «Leur chevelure est fine, noire, épaisse et très-flexueuse, car elle tombe en mèches tirebouchonnées LessonSuppl. aux oeuvres de Buffon, 80-81 (Lévêque) - P.E.
*1862 - «Tout récemment, un jeune artiste américain, M. Whistler, exposait [...] ; merveilleux fouillis d'agrès, de vergues, de cordages ; chaos de brumes, de fourneaux et de fumées tirebouchonnées [...]» BaudelaireCuriosités esthétiques, Peintres et aquafortistes, 413 (Garnier) - P.E.
tirer : tire ! / tirez ! interj. RELAT. "/pour chasser qqn/" - ø t. lex. réf. ; absent TLF./pour chasser les chiens/ : TLF, ø d
1579 - «Va à la male heure, va là haut, tire, que je t'aille desabiller.» P. de Larivey, Le Morfondu, in Ancien théâtre français, V, 320 (Jannet, 1855-57) - P.E.
1654 - «C'est en bon baragouïn, tire, passe sans flus, / Abandonnez cét huis, & n'y reuenez plus [...].» Fr. Tristan [L'Hermite]Le Parasite, 90 (Droz, STFM, 1934) - P.E.
1697 - «[...] cadedis tirez, Monsieur Rapineau, tirez. Mr RAPINEAU. Monsieur... CLITANDRE. Disparoissez & promptement [...].» DancourtLes Oeuvres, Le Retour des officiers, IV, 252 (Ribou, 1729) - P.E.
1698 - «[...] j'entendois toûjours : Tirez, Bourgeois, fy les vilains, à la boutique. Cela n'est point plaisant à essuier au moins.» F. Dancourt, Les Curieux de Compiègne, in F. DancourtLes Oeuvres, IV, 294 (Ribou, 1729) - P.E.