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tapotage n.m. non conv. MUS. "sur un piano" - FEW, 1949.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1855 - «Vous vous êtes imaginé que vous lui tourneriez la tête avec votre tapotage de piano. - (L'autre, indigné.) Tapotage !» Augier, Ceinture dorée, III, xvi - P.W.
*1877 - «Viens me donner une leçon de tapotage. (Elle se met au piano) [...]» Najac et Hennequin, Bébé, II, viii - P.W.
tapotage n.m. INDUSTR. ALIM. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1922 - «En résumé, jusqu'à ces dernières années, la suite d'opérations comportant la températion, le moulage, le tapotage et le démoulage du chocolat [...] était l'apanage d'une série de spécialistes : dresseurs, tapoteurs, mouleurs, démouleurs [...]» O. Morand, in La Science et la vie, n° 60, janv., 150b - P.E.
tapotage n.m. PEINT. - FEW (13/I, 102b), TLF, 1883, Huysmans.
1864 - «Ce travail violent et emporté, les écrasis, les martelages, les tapotages, les balafrures, les empâtements de crayons, ces touches semées, franches et rudes, ces audaces qui marient des tons immariables et jettent sur le papier les couleurs toutes crues [...] tout cela s'harmonise à quelques pas, s'assemble, se fond, s'éclaire, et c'est de la chair qu'on a sous les yeux [...]» E. et J. de Goncourt, in Gazette des beaux-arts, t.16, 1er févr., 158 - M.C.
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