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séreuse n.f. ANAT.  "membrane circonscrivant une cavité et sécrétant de la sérosité" - TLF, 1825, Guérin de Mamers [d'apr. DDL 15] ; FEW (11, 530a), 1871 ; L, ø d.
*1833 - «[...] on voit que les injections irritantes déterminent l'inflammation de la séreuse et même du testicule : que cette membrane enflammée exhale un fluide très abondant, qui reproduit momentanément la maladie ; je dis momentanément, parce que ce n'est qu'après un temps plus ou moins long, lorsque ce nouvel épanchement est détruit, que la séreuse contracte des adhérences avec le testicule et que la maladie est réputée guérie.»Reybard, in Transactions médicales, XII, avr., 56-57 - C.H.
*1846 - «Comme la plupart des séreuses, l'arachnoïde forme un sac à double paroi, sans ouverture.»E. Baudement, in Ch. d'Orbigny, Dict. univ. d'hist. nat., VII, 643a-b (s.v. mammifères) - C.H.
séreuse n.f. ANAT. - DDL 8, 1833 ; L, FEW (11, 530a), GLLF, 1871 ; R, Lex.[75], PR[77], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1825 - «[...] une inflammation de la muqueuse gastro-intestinale, qui s'est propagée à la séreuse [...]» Guérin de Mamers, Résumé des travaux de la méd. physiologique, 16 (Delaunay) - P.E.