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sursaturation n.f. CHIM. - GR[85], 1864 ; L, FEW (11, 251b), GLLF, 1872.
1824 - «[...] toute dissolution saline qui peut abandonner du sel sans que la température change, est nécessairement sursaturée. On peut voir que, en général, la sursaturation n'est point un terme fixe [...]» Riffault, trad. : Ure, Dict. de chimie, IV, 304 (Leblanc) - P.E.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1829 - «Un autre [avantage], quand on suit cette méthode [de guérison de la syphilis] à la lettre, consiste en ce qu'on n'a point à craindre les suites fâcheuses de la sursaturation du mercure.» Caucanas, Annuaire médico-chirurgical, III, 7 (Gabon) - P.E.
sursaturation n.f. CHIM. - DDL 40, 1824 ; TLF, 1829, Caucanas ; GR[85], 1864 ; L, FEW (11, 251b), GLLF, 1872.
• sur-saturation - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1819 - «D'après cette définition, toute dissolution saline pouvant abandonner du sel, sans que la température change, est nécessairement sur-saturée. Je vais montrer qu'en général, la sur-saturation n'est point un terme fixe, et que la cause qui la produit est la même que celle qui retient l'eau liquide au-dessous de la température de sa congélation.» Gay-Lussac, in Annales de chim. et de phys., t.11, 301 - P.P.
sursaturation magnétique loc. nom. f. PHYS. - GLLF, 1904, Lar. ; absent TLF.
1883 - «SURSATURATION MAGNETIQUE [...] Etat magnétique dans lequel se trouve un aimant susceptible de perdre une partie de son aimantation par suite d'une secousse ou d'une autre influence mécanique.» Jacquez, Dict. d'électricité et de magnétisme, 185 (Klincksieck) - P.E.
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