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surréel adj. CIN. - TLF, 1924, Aragon [d'apr. DDL 12] ; PR[72] (néol.), ø d.
*1928 - «/Le 'Ciné-Oeil' de Vertov/ s'interdit notamment dans une large mesure le travail de recherche de cet invisible qui est fonction des pensées et des sentiments les plus secrets de l'homme et que l'oeil 'surréel' de l'objectif ne permet de découvrir enfin qu'avec l'aide de certaines complicités, notamment celles du cinéaste, de l'acteur et de la lumière.»L. Moussinac, Le Cinéma soviétique, 175-6 (Gallimard) - J.S.
surréel adj. PHILOS. - DDL 7, 1928 ; PR[73] (néol.), ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1924 - «L'invention, pour me résumer, se résume à l'établissement d'un rapport surréel entre des éléments concrets et son mécanisme est l'inspiration.» Aragon, in La Révolution surréaliste, n° 1, 23 - P.E.
surréel n.m. PHILOS. - PR[73] (néol.), ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1924 - «On sait peut-être qu'une certaine recherche, une certaine façon de faire prédominer le surréel a pris dans le langage courant le nom de surréalisme.» Aragon, in La Révolution surréaliste, n° 1, 23 - P.E.
1924 - «Quand l'esprit a envisagé le rapport du réel dans lequel il englobe indistinctement ce qui est, il lui oppose naturellement le rapport de l'irréel. Et c'est quand il a dépassé ces deux concepts qu'il imagine un rapport plus général, où ces deux rapports voisinent, qui est le surréel.» Aragon, in Commerce, n° 2, 103 - P.E.
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